Palais des Congrès - Palais de la Dynastie
Mont des Arts 5, 6-7-8-9-10-11-12-13-14-15-16-17-18, 20-21-22
Rue des Sols 1, 3-5-7-9-11, 15-17-19-21-23-25-27-29
Rue Ravenstein 2a-2b-2c
Coudenberg 1-3-5
Typologie(s)
parc
immeuble de bureaux
immeuble de bureaux
Intervenant(s)
René PECHERE – architecte paysagiste – 1955-1958
Jules GHOBERT – architecte – 1955-1958
Styles
Classicisme moderne
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
id
Urban : 36573
Description
Ensemble d’immeubles, arch. J. Ghobert avec la collaboration de l’architecte-paysagiste
R. Pechère pour l’aménagement des jardins, 1955 ,formant un U irrégulier,
limité au Nord par la rue des Sols, comprenant auditoires, salles de réunion ou
de fête de tailles diverses, équipées d’installations techniques sophistiquées.
Aile Ouest dénommée « Palais de la Dynastie ». PavillonLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. monumental prolongé par une aile enjambant la rue et rythmé par des travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de vitrages. Vers le jardin, porte en bronze par M. Rau. Reliefs de G. Jacobs, « Belgique et Dynastie » par O. Declerck. Au-dessus de la voirie, façade occupée par une horloge monumentale avec carillon, jaquemart et douze figurines mobiles empruntées à l’histoire et au folklore par H. van Albada, H. Lenaerts, J. Verset et R. Poot.
Aile Nord abritant bureaux et galerie commerciale, en trois parties étagées en suivant la pente de la rue. Rez-de-chaussée occupé par une galerie d’arcades devant les rez-de-chaussée commerciaux; aux étages, fenêtres groupées selon un schéma régulier; étage-attique en loggiaPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. derrière une galerie. Reliefs allégoriques par A. Darville, D. Ledel, E. Remy, J. Talmar et N. Neujean.
À l’Est, deux ailes symétriques de trois niveaux cantonnant l’esplanade axiale, exhaussées d’un niveau en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. sur les plans des architectes R. Delers et E. De Felici en 1983-1984. Reliefs « Nouveau-né » par C. Leplae et « Femme lisant » par A. Courtens au-dessus du passage couvert; fontaine ornée de masques par R. Jacob et série d’emblèmes du côté du Coudenberg. À l’intérieur, grand hall d’entrée décoré de peintures murales monumentales : « Le Paradis terrestre » par P. Delvaux et « Barricades mystérieuses » par R. Magritte.
Aile Ouest dénommée « Palais de la Dynastie ». PavillonLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. monumental prolongé par une aile enjambant la rue et rythmé par des travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de vitrages. Vers le jardin, porte en bronze par M. Rau. Reliefs de G. Jacobs, « Belgique et Dynastie » par O. Declerck. Au-dessus de la voirie, façade occupée par une horloge monumentale avec carillon, jaquemart et douze figurines mobiles empruntées à l’histoire et au folklore par H. van Albada, H. Lenaerts, J. Verset et R. Poot.
Aile Nord abritant bureaux et galerie commerciale, en trois parties étagées en suivant la pente de la rue. Rez-de-chaussée occupé par une galerie d’arcades devant les rez-de-chaussée commerciaux; aux étages, fenêtres groupées selon un schéma régulier; étage-attique en loggiaPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. derrière une galerie. Reliefs allégoriques par A. Darville, D. Ledel, E. Remy, J. Talmar et N. Neujean.
À l’Est, deux ailes symétriques de trois niveaux cantonnant l’esplanade axiale, exhaussées d’un niveau en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. sur les plans des architectes R. Delers et E. De Felici en 1983-1984. Reliefs « Nouveau-né » par C. Leplae et « Femme lisant » par A. Courtens au-dessus du passage couvert; fontaine ornée de masques par R. Jacob et série d’emblèmes du côté du Coudenberg. À l’intérieur, grand hall d’entrée décoré de peintures murales monumentales : « Le Paradis terrestre » par P. Delvaux et « Barricades mystérieuses » par R. Magritte.
Sources
Périodiques
VERPOEST, L., Tussen Noord-station, tussen bovenstad en benedenstad : de architectuur van een kruispunt, dans M & L,
1989, 2, pp. 4-28.