Typologie(s)
immeuble de logements sociaux
Intervenant(s)
Georges LIBOTTE – architecte – 1960
J. FONTAINE – architecte – 1960
Styles
modernisme d'après-guerre
Inventaire(s)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Ixelles (DMS-DML - 2005-2015)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Social
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2011-2013
id
Urban : 21356
Description
Immeuble de logements sociaux de style moderniste érigé pour le Foyer ixellois, signé et millésimé «(Georges) LIBOTTE et (J.) FONTAINE / architectes 1960».
Grand bâtiment en forme de T, entouré d'un jardinet sillonné d'allées. Aile longitudinale de six niveaux et ailes transversales de quatre niveaux. Rez-de-chaussée revêtu de panneaux de pierre bleue. Étages de l'avant-corps et des ailes transversales habillés de panneaux blancs de pierre composite et percés de fenêtres en bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. flanquées d'une haute baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. vitrée à meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. verticaux continus, toutes reprises dans un même encadrement. Avant-corps reposant partiellement sur des piliersSupport vertical de plan carré. gainés. Autres façades peintes en blanc et devancées de galeries continues à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... métallique. À côté des deux entrées principales, motif décoratif de style moderniste portant l'inscription «Le Relais». HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. partiellement d'origine.
Intérieur
Grand hall d'entrée avec ascenseurs et cages d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier.. De huit à dix appartements à deux ou trois chambres par étage. Éclairé par trois puits de lumière.
Grand bâtiment en forme de T, entouré d'un jardinet sillonné d'allées. Aile longitudinale de six niveaux et ailes transversales de quatre niveaux. Rez-de-chaussée revêtu de panneaux de pierre bleue. Étages de l'avant-corps et des ailes transversales habillés de panneaux blancs de pierre composite et percés de fenêtres en bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. flanquées d'une haute baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. vitrée à meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. verticaux continus, toutes reprises dans un même encadrement. Avant-corps reposant partiellement sur des piliersSupport vertical de plan carré. gainés. Autres façades peintes en blanc et devancées de galeries continues à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... métallique. À côté des deux entrées principales, motif décoratif de style moderniste portant l'inscription «Le Relais». HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. partiellement d'origine.
Intérieur
Grand hall d'entrée avec ascenseurs et cages d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier.. De huit à dix appartements à deux ou trois chambres par étage. Éclairé par trois puits de lumière.
Sources
Archives
ACI/Urb. 41-510.
Périodiques
«Logements sociaux. G. Libotte et J. Fontaine, architectes», Habitat, 1-6, 1962, pp.6-7.
ACI/Urb. 41-510.
Périodiques
«Logements sociaux. G. Libotte et J. Fontaine, architectes», Habitat, 1-6, 1962, pp.6-7.