Typologie(s)
maison ou immeuble de rapport
rez-de-chaussée commercial
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
Nicolas Joseph QUINTENS – (maître-)maçon, entrepreneur – 1876
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Ixelles (DMS-DML - 2005-2015)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2009-2011
id
Urban : 19737
Description
À l'angle de la rue de Limauge, ensemble de style néoclassique formé d'un vaste immeuble de rapport à rez-de-chaussée commerciaux et d'une maison d'habitation (n°241), conçu par et pour le maçon-entrepreneur Nicolas Joseph Quintens, 1876.
Sur l'angle, l'immeuble de quatre niveaux présente une façade de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers la chaussée de Wavre ainsi qu'une façade de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. côté rue de Limauge, la première, sur l'angle, étant aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre.. Vers la chaussée, fenêtres rectangulaires à encadrement mouluré actuellement enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc..
Les devantures commerciales d'origine sont partiellement conservées; côté rue de Limauge, la baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. en forme de D résulte d'une transformation de 1938.
Au n°241, maison de quatre niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont les deux fenêtres du rez-de-chaussée à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages. ont été remplacées en 1935 par une devanture commerciale; à droite, la porte piétonne est d'origine. Au premier étage, porte-fenêtre surlignée d'un entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. et devancée d'un balcon à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.. Corniche et châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés.
Sur l'angle, l'immeuble de quatre niveaux présente une façade de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers la chaussée de Wavre ainsi qu'une façade de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. côté rue de Limauge, la première, sur l'angle, étant aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre.. Vers la chaussée, fenêtres rectangulaires à encadrement mouluré actuellement enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc..
Les devantures commerciales d'origine sont partiellement conservées; côté rue de Limauge, la baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. en forme de D résulte d'une transformation de 1938.
Au n°241, maison de quatre niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont les deux fenêtres du rez-de-chaussée à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages. ont été remplacées en 1935 par une devanture commerciale; à droite, la porte piétonne est d'origine. Au premier étage, porte-fenêtre surlignée d'un entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. et devancée d'un balcon à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.. Corniche et châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés.
Sources
Archives
ACI/Urb. 317-231; 317-237; 317-239; 317-241.
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