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Église Saints-Jean-et-Nicolas
Rue de Brabant 75a
Rue d'Aerschot 58-60
Identification
- Identifiant
- 23163
Statut juridique
Classé depuis le 22 février 1984Données administratives
- Recherches et rédaction
- 2013-2014
Caractéristiques
- Intervenant(s)
- J.P.J. PEETERS (1847 - architecte)
- Typologie(s)
- église/cathédrale/basilique
- Style(s)
- Néoclassicisme
Description
Église occidentée, de culte catholique, conçue en 1847 en style néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. par l'architecte J. P. J. Peeters (plaque commémorative dans le chœur).Historique
La première pierre de l'édifice est posée en 1847 sur un terrain mis à disposition par l'industriel et philanthrope Jean-Nicolas Nevraumont, par ailleurs promoteur d'une large part du quartier. Les travaux sont interrompus en 1848 suite aux révolutions qui secouent l'Europe. Le 15.06.1849, Nevraumont décède, ayant légué une partie de sa fortune pour achever l'église. Cette dernière est reconnue par l'arrêté royal du 15.11.1849 et, bien qu'inachevée, elle est ouverte au culte le 29.01.1850. La tour n'a jamais reçu son couronnement, malgré des projets des architectes D. Peeters, E. Carpentier et G. Hansotte en 1870-1871. Dans les années 1990, l'église a fait l'objet d'une restauration menée par les architectes H. Boghemans et M. Henrard. Rue d'Aerschot, flanquant l'église, se trouve son ancien presbytère (voir no54-56).
Extérieur
À front de la rue de Brabant, façade principale en plaquettes de calcaire gréseux blanchâtre, rehaussée de pierre bleue. Elle présente une ordonnance symétrique de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. inégales, la principale au centre, et de deux niveaux; travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale surmontée d'une tour. NichesUne niche est un renfoncement dans l’épaisseur d’un mur, qui reçoit parfois un élément décoratif. Elle peut présenter un couvrement et un plan variés, droits ou cintrés. Un élément logé dans une niche sera dit niché. et baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle.. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général., avec porte rectangulaire panneautéeLe terme panneau désigne un élément de menuiserie rectangulaire ou carré, enserré dans la structure d’une porte ou d’un lambris., encadrée de deux larges pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. à bossagesBossage. Saillie de la face d’un bloc de pierre par rapport au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit un sur deux lorsqu’un parement présente une alternance d’assises de blocs en bossages et de blocs dont le parement reste au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit rustique lorsque son parement est d’une taille grossière. Il est dit continu lorsqu'il se prolonge sur une assise entière.; second niveau sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. à frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches., soutenu par deux colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. jumellesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux., canneléesLes cannelures sont des canaux longs, parallèles et en répétition, ornant des pilastres ou des colonnes. et à chapiteauCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. ionique, de part et d'autre d'une nicheUne niche est un renfoncement dans l’épaisseur d’un mur, qui reçoit parfois un élément décoratif. Elle peut présenter un couvrement et un plan variés, droits ou cintrés. Un élément logé dans une niche sera dit niché.; monogramme «IHS» sur fond rayonnant dans le tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge.. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. latérales percées de nichesUne niche est un renfoncement dans l’épaisseur d’un mur, qui reçoit parfois un élément décoratif. Elle peut présenter un couvrement et un plan variés, droits ou cintrés. Un élément logé dans une niche sera dit niché., à crossettesRessauts décoratifs situés aux angles d’un élément tel qu’un encadrement. au rez-de-chaussée, sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. et bavette à l'étage. CornicheCorniche. Élément de couronnement d’un entablement, d’une élévation ou d’un élément d’élévation comme une baie ou une lucarne. La corniche se compose de moulures en surplomb les unes par rapport aux autres. La cimaise est la moulure supérieure de la corniche, située au-dessus du larmier. denticuléeLes gouttes et denticules sont des éléments répétés sur les moulurations ou décorations. La goutte est tronconique. Elle se distingue du denticule qui est en forme de petit cube.. Muret d'attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. couronnant les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. latérales. Tour très probablement inachevée, au vu de celle projetée sur un plan de 1849. Rectangulaire, elle compte deux registresAlignement horizontal de baies sur un pignon., le premier aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre., le second scandé de colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. engagéesUn élément est dit engagé lorsqu’il paraît en partie noyé dans un pan de mur., jumeléesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux. en façade principale, simples sur les autres faces; à fut partiellement canneléLes cannelures sont des canaux longs, parallèles et en répétition, ornant des pilastres ou des colonnes. et chapiteauCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. corinthien, elles encadrent une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. garnie d'un abat-son et d'une horloge (restaurée en 2004). CornicheCorniche. Élément de couronnement d’un entablement, d’une élévation ou d’un élément d’élévation comme une baie ou une lucarne. La corniche se compose de moulures en surplomb les unes par rapport aux autres. La cimaise est la moulure supérieure de la corniche, située au-dessus du larmier. denticuléeLes gouttes et denticules sont des éléments répétés sur les moulurations ou décorations. La goutte est tronconique. Elle se distingue du denticule qui est en forme de petit cube. à modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche. sous balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. d'attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. à désÉléments de pierre de section sensiblement carrée ou rectangulaire, disposés généralement aux angles d’un balcon., autrefois ornée de vases aux angles.
À front de la rue d'Aerschot, élévation arrière enduiteL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc., constituée d'une façade-pignon centrale à larges pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. et fronton à base interrompueFronton dont la corniche horizontale est interrompue à une certaine distance des pieds des rampants., flanquée des façades des bas-côtés. Celui de gauche percé d'une porte, celui de droite d'une fenêtre, ces baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous tablePetite surface plane décorative, carrée ou rectangulaire. En menuiserie, on utilisera plus volontiers le terme panneau. rentrante à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en mitreUn élément est dit en mitre lorsque son tracé se compose de deux droites se rejoignant en pointe.. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle.. PilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. partiellement cannelésLes cannelures sont des canaux longs, parallèles et en répétition, ornant des pilastres ou des colonnes., percés chacun d'une fenêtre et d'un oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. hexagonal. Au rez-de-chaussée, serlienneTriplet formé d’une baie centrale couverte d’un arc en plein cintre et de deux petites baies latérales rectangulaires. Ces dernières sont plus basses et plus étroites que la baie centrale. aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. à pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. jumelésDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux., percée d'une fenêtre. Au tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge., rosaceRosace. Ornement symétrique circulaire évoquant une fleur stylisée ou d’autres végétaux. Se dit également d’une baie circulaire à remplage et/ou vitrail, analogue à cet ornement. La rosette est une rosace de petite taille. aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. à motif de croix grecqueMéandre et grecque. Ornements composés de lignes droites raccordées à angle droit. Le méandre est en forme de U enchaînés tandis que la grecque se compose de lignes se refermant sur elles-mêmes à la manière d’une spirale., sous un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle..

Intérieur
Plan en croix latine, à nef de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. flanquée de bas-côtés et séparée de ceux-ci par des arcadesBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. à colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. jumeléesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux. et fort entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne.. Chœur à abside hémicirculaire répondant à la forme du vestibule d'entrée à tambour, sous tribune d'orgue. Le chœur est englobé dans une série d'annexes à usage de sacristie, de vestiaire et de chapelle de semaine.
Chaque travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de la nef est couverte d'une coupoleVoûte de plan central. Elle peut être circulaire, ovale, polygonale, à côtes, en plein cintre, surbaissée, surhaussée, etc. à oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. central aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. et sur pendentifs garnis de reliefs figurant ange et entrelacsOrnements composés de courbes entremêlées.. CoupolesVoûte de plan central. Elle peut être circulaire, ovale, polygonale, à côtes, en plein cintre, surbaissée, surhaussée, etc. séparées par des arcsStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. doubleaux jumelésDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux.. Bas-côtés et transept voûtés en berceau perpendiculaire et percés de fenêtres à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. à remplage trilobéUn élément est dit polylobé lorsqu'il est constitué de plusieurs lobes: arc bilobé, trilobé, etc.. Remplages, châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. et vitraux initiaux remplacés en 1932 par une composition en béton armé.

Chœur précédé de quelques marches, à abside à cul-de-four à caissons percée d'un demi-oculus zénithal. Chapelles latérales de plan rectangulaire. NichesUne niche est un renfoncement dans l’épaisseur d’un mur, qui reçoit parfois un élément décoratif. Elle peut présenter un couvrement et un plan variés, droits ou cintrés. Un élément logé dans une niche sera dit niché. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. décorant chœur et chapelles latérales.
Tribune d'orgue à balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. de plan chantournéUn élément est dit chantourné lorsque sa forme alterne courbe et contre-courbe. sur double corbeauPièce de pierre ou de bois partiellement engagée dans un mur et portant une charge. Le corbeau se distingue de la console par sa petite taille, il porte généralement un élément en faible saillie. D’autre part, sa section verticale est sensiblement carrée ou rectangulaire.. Orgue par Pierre Schyven (1885).
Décor d'inspiration antique, monumental et prégnant, mettant à l'honneur l'ordre corinthien (entablement, colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. et pilastres), les fûts cannelésLes cannelures sont des canaux longs, parallèles et en répétition, ornant des pilastres ou des colonnes. et baguésBague ou anneau. Bandeau saillant qui ceint un support., les fleurettes. Polychromie affirmée due aux faux marbres et aux dorures des colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. et pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau., aux faux bois et à la peinture patinée des portes et de certaines pièces du mobilier, ainsi qu'aux matériaux naturels utilisés: dalles de sol en marbre noir (et en blanc de Carrare dans le chœur), soclesMassif surélevant un support ou une statue. des colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. et soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en marbre rouge, sculptures de marbre de Carrare.
Mobilier en grande partie réalisé dans le cadre de la construction de l'église, cohérent et bien conservé. Le sculpteur Guillaume Geefs en exécuta une large part: autel majeur, banc de communion, chaire de vérité, deux sculptures (saint Jean-Baptiste, saint Nicolas de Bari).

Charité, monument à la mémoire de J.-N. Nevraumont par C.-A. Fraikin. Peintures: Calvaire et Descente de Croix par J. Bovie en 1862; Laissez venir à moi les petits enfants, par A. Van Ysendyck, milieu du XIXe siècle; Jésus et la femme adultère, par Villevoye, milieu du XIXe siècle; trois huiles sur bois plus anciennes: Adoration des Mages, Jésus au Jardin des Oliviers, Transfiguration.
Sacristies ayant conservé leur mobilier d'origine en chêne, le lavabo en marbre blanc, les huisseriesMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants.. Remarquable escalier en visEscalier à volée hélicoïdale tournant autour d'un noyau central. suspendu, sans mur de cage.
Classement 22.02.1984
Archives
ACS/TP Caisse 19, plans 5 à 10, 12.
Centre de documentation de Bruxelles Développement Urbain, archives des travaux: 978 (1981), 1126/1-5 (1987-1994), 1153 (1987-1995), 1578 (2000).
Maison des Arts de Schaerbeek/fonds local.
Ouvrages
DENHAENE, G., L'expansion de Bruxelles au XIXe siècle. Naissance du Faubourg de Schaerbeek: histoire et images, ASBL PatriS, Bruxelles, 2002, pp. 35, 36, 41.
DE SAEGHER, E., BARTHOLEYNS, E., Histoire populaire de Schaerbeek, Henri Mommens imprimeur-éditeur, Schaerbeek, 1887, p. 122.
Inventaris van het roerend kunst- en cultuurpatrimonium van de kerk Sint-Jan en Niklaas te Schaarbeek, Centrum voor Religieuze Kunst en Cultuur vzw, Heverlee, 2014.
Poelaert et son temps (catalogue d'exposition), Crédit communal de Belgique, Bruxelles, 1980, p. 143.
Sts Jean et Nicolas: un bâtiment rénové dans un quartier qui vit, plaquette de l'exposition du 22 au 24.06.2005, Bruxelles, 2005.
WAUTERS, A., Histoire des environs de Bruxelles, t. 3, Bruxelles, 1855, p. 50.
Sites internet
Inventaire des orgues en Région de Bruxelles-Capitale
ACS/TP Caisse 19, plans 5 à 10, 12.
Centre de documentation de Bruxelles Développement Urbain, archives des travaux: 978 (1981), 1126/1-5 (1987-1994), 1153 (1987-1995), 1578 (2000).
Maison des Arts de Schaerbeek/fonds local.
Ouvrages
DENHAENE, G., L'expansion de Bruxelles au XIXe siècle. Naissance du Faubourg de Schaerbeek: histoire et images, ASBL PatriS, Bruxelles, 2002, pp. 35, 36, 41.
DE SAEGHER, E., BARTHOLEYNS, E., Histoire populaire de Schaerbeek, Henri Mommens imprimeur-éditeur, Schaerbeek, 1887, p. 122.
Inventaris van het roerend kunst- en cultuurpatrimonium van de kerk Sint-Jan en Niklaas te Schaarbeek, Centrum voor Religieuze Kunst en Cultuur vzw, Heverlee, 2014.
Poelaert et son temps (catalogue d'exposition), Crédit communal de Belgique, Bruxelles, 1980, p. 143.
Sts Jean et Nicolas: un bâtiment rénové dans un quartier qui vit, plaquette de l'exposition du 22 au 24.06.2005, Bruxelles, 2005.
WAUTERS, A., Histoire des environs de Bruxelles, t. 3, Bruxelles, 1855, p. 50.
Sites internet
Inventaire des orgues en Région de Bruxelles-Capitale
Abréviations | Recherches et rédaction : 2013-2014.