Typologie(s)

hôtel particulier
dépendances

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1825-1850

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Saint-Josse-ten-Noode (DMS-DML - 1994-1997)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

1993-1995

id

Urban : 10861
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Description

Hôtel de maître de tradition néoclassique du second qu. du XIXe s. ayant subi de nombreuses interventions, mais dont l'intérieur conserve partiellement ses boiseries, lambrisLe lambris est un revêtement de menuiserie, de marbre ou de stuc couvrant la partie inférieure ou l'entièreté des murs d’une pièce., plafonds et cheminées anciennes.

Façade sur rue enduite et peinte de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et trois niveaux de hauteur dégressive sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. de pierre bleue profilé et ajouré pour les caves. R.d.ch. à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages., percé de fenêtres rect. et, dans l'axe, d'une entrée cochère menant vers la cour. Étages délimités par un chaînage et soulignés de cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition., un balcon continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. à volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. et à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. torsadée courant devant les portes-fenêtres du bel étage. La baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d'honneur agrémentée d'un élément d'entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne., les baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du dern. niveau garnies de barres d'appuiPetit garde-corps de faible hauteur et non saillant, compris dans l’embrasure d’une fenêtre.. Niveau d'entablementLe niveau d’entablement concerne un entablement à frise ajourée de fenêtres et constituant ainsi un demi-niveau. banalisé par un recouvrement en ardoises. BâtièreToit à deux versants. de tuile.

Sous le porche, entrées latérales entre colonnes ioniques conservant une menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. soignée. Vers la cour, ajout d'une verrière sur l'annexe en 1912 d'après les plans de l'arch. H. MARTIN. Agrandissement et reconstruction de la façade postérieure en 1961 d'après les plans de l'arch. X. DE COMBRUGGHE : mur écran en aluminium. En 1935, à la demande de L. Berrier, directeur du théâtre de la Gaité, projet visant à construire un bâtiment de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur trois niveaux dans un style proche de l'éclectisme, comprenant un garage et une salle de répétition, d'après les plans de l'arch. VAN EECKHOUDT, probablement abandonné au profit d'un second projet de style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs. présenté en 1936. Ce bâtiment, lui-même agrandi et transformé à plusieurs reprises, e.a. en atelier de confection en 1956, a perdu la majeure partie de ses caractéristiques.

Il présente une façade de deux niveaux percée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect., les trois 1res travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. conformes au plan de 1936, en briques et enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc., les cinq suivantes et les deux en retour en briques, ajourées de larges baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. métalliques à divisions.

Sources

Archives

ACSJ/Urb./TP 8398 (1912), 12561 (1935), 12824 (1936), 15676 (1961).