Typologie(s)

usine

Intervenant(s)

Pierre DE GIETERarchitecte1912

INCONNU - ONBEKEND1896

INCONNU - ONBEKEND1870-1872

INCONNU - ONBEKEND1863

Pierre DE GIETERarchitecte1924

Styles

Néoclassicisme
Modernisme

Inventaire(s)

  • Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Saint-Gilles (DMS-DML - 1997-2004)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

1997-2004

id

Urban : 4117
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Description

Anc. manufacture de pianos Gunther. Bâtiment industriel, partiellement rénové et réaffecté en bureaux et centre culturel flamand De Pianofabriek.

Vers la r. du Fort, le terrain, propriété de la famille Gunther, est bordé dès 1865 par un mur de clôture. L'atelier à front de rue est édifié entre 1870 et 1872. Il compte six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., la dern. percée d'une porte cochère, et seulement trois niveaux.

Le no 33, une maison néoclassique de composition symétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition symétrique lorsqu’elle compte trois travées égales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux de hauteur dégressive. La travée axiale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré., conçue en 1863, est annexé à la manufacture. En 1894, un 4e niveau est ajouté à l'ensemble. ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. ré-enduite en 1929. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. surbaisséUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle., à partie supérieure aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. au r.d.ch. Le no 33 est act. modifié au r.d.ch. Corniche supprimée au no 35-35a.

Vers la r. Guillaume Tell se dressent trois ailes de cinq niveaux, disposées en U ouvert vers la rue. Élévations en briques, percées de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. surbaisséUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle. pour la plupart. La construction des différentes ailes fut réalisée en trois phases. La 1re, de 1896, concerne l'aile g., qui compte trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à front de rue et sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers la cour. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à petits-fers. En 1912, la fabrique s'étend et l'arch. Pierre De Gieter conçoit l'aile centrale, parallèle à la r. Guillaume Tell. Les fenêtres à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. surbaisséUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle. ont fait place, avant 1994, à de vastes baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. En 1924, le même arch. dessine l'aile dr., qui compte deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à front de rue et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. côté cour.

Sources

Archives

ACSG/Urb. 33 : 2970 (1863), 29182 (1925), 134 (1960) ; 35, 35a : 4190 (1865), 761 (1870), 1678 (1872), 3717 (1894), 309 (1929) ; 59-61 r. Guillaume Tell : 197 (1896), 64 (1912), 48 (1924).