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Rue Théodore Verhaegen
Voir les biens de ce lieu repris à l'inventaire
Nommée en hommage à un libre penseur, fondateur de l'Université Libre de Bruxelles. Pentue et rectiligne, elle relie le carrefour de la Barrière à l'av. Fonsny, en croisant successivement les r. Sterckx, du Fort, Guillaume Tell, de Prague, la ch. de Forest, la r. Fernand Bernier et la pl. de Bethléem, la r. Émile Féron et la r. de Mérode.
Son plan d'alignement est décrété par l'AR du 07.01.1863 pour la partie comprise entre la Barrière et la ch. de Forest, et par l'AR du 15.03.76 pour le reste de la rue.
Elle correspond à une portion d'une artère rectiligne reliant Anderlecht au bois de la Cambre, dans l'axe des act. r. des Vétérinaires, d'une part, et ch. de Waterloo, d'autre part. Plus large que les autres rues du quartier, elle constitue un des principaux accès à la gare du Midi. En 1900, à l'occasion de l'exposition universelle du Solbosch à Ixelles, une ligne de tram électrique s'établit entre la gare du Midi et le site de l'exposition, empruntant la r. Théodore Verhaegen.
Elle traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie. les terrains de l'anc. fort de Monterey, démoli à partir des années 1780. Bien que l'artère ait peu souffert de destructions au cours du temps et qu'elle possède un bâti majoritairement marqué par l'esthétique néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., elle présente depuis les années 1930 un aspect assez chaotique, fait de façades de hauteur différente et de rhabillages malheureux, comme les parementsRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante..
Comme dans la plupart des rues du quartier, l'activité manufacturière est présente, favorisée par la proximité de la gare du Midi. Elle se manifeste non seulement par la présence de quelques bâtiments industriels à front de rue, mais aussi par nombre de parcelles dotées de bâtiments arrière : écuries, garages, ateliers, habitations ouvrières. Certains témoignent d'un usage moins répandu, comme une « vacherie » (voir no 88).
En outre, la rue se signale par une forte activité commerçante, qui semble s'amplifier durant l'entre-deux-guerres, période durant laquelle de nombreux r.d.ch., jusque là privés, sont transformés en magasin.
Le cinéma « Faby » (voir no 145-147), act. complètement dénaturé et réaffecté, complétait autrefois la vie de ce quartier.
Nos ne figurant pas en notice : 1 et ch. de Waterloo 165 : à l'angle, immeuble de rapport d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1861. Commerce établi en 1881, transformé en 1963, et conservant une partie de sa devanture anc. ; 3 : immeuble de rapport, 1992, arch. Roland Verreyt, construit en remplacement d'un bâtiment de 1861, annexe du no 1 ; 5-7 : immeuble résultant de la réunion, en 1969 (arch. Pol Henry), de deux maisons de 1882. ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. de 1961, act. ré-enduit ; 9 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1865. Commerce établi en 1903 et transformé en 1940 ; 10-12 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1876, exhaussée en 1935 et parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante.. Devanture établie en 1920 ; 11, 13 : deux maisons de 1869, sous toit mansardéUne toiture est dite mansardée lorsqu'elle présente deux pentes différentes sur le même versant. Le brisis est le pan inférieur de la toiture mansardée. Le pan supérieur se nomme le terrasson. de 1931. Au no 13, devanture de 1946, arch. J. Marchal, caractérisée par un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de carreaux de céramique ; 14-16 : immeuble de commerce et à appartements de style modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé., 1959, arch. R. Pellegrin, à la place de deux maisons de 1875 et 1876 ; 15, 17 : ensemble de deux maisons, 1874. Commerces établis resp. en 1924 et 1905. no 15 exhaussé en 1928, no 17 en 1928. no 17 parementéRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. en 1948 ; 19 : maison de 1874, G. Dechamp (selon De Keyser, G., 1996), avec commerce établi en 1925 et datant dans sa version act. de 1955 ; 20, 20a : deux immeubles à appartements de style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., arch. Pierre De Gieter, édifiés resp. en 1923 et 1929. Au no 20, jolie devanture établie en 1930, arch. Pierre De Gieter. Au no 20a, vitrine transformée en 1966 ; 21, 23 : deux maisons de 1875, réunies par un r.d.ch. commercial commun en 1983. no 21 exhaussé en 1938 ; 24, 26 : deux maisons néoclassiques, 1875, act. parementéesRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante.. Commerce installé au r.d.ch. en 1891 (No 24) et en 1902 (No 26), transformé en 1950 ; 25, 27 : deux maisons néoclassiques, 1875. Devantures modifiées resp. en 1961 et 1951 (avec parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettes) ; 29, 31 : deux maisons néoclassiques, 1877. Au no 29, logetteLa logette est un petit ouvrage en surplomb qui s’étend sur un seul étage, contrairement à l’oriel qui en compte plusieurs ou s’allonge sur plusieurs travées. Contrairement au bow-window, logette et oriel sont d’ordinaire de plan rectangulaire ou trapézoïdal et semblent appliqués sur la façade. établie en 1939 et parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. en 1946. Au no 31, établissement en 1965 de la devanture act. et du parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ; 30 : à l'angle de la r. du Fort, maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1878. Commerce établi en 1926 et act. modifié ; 32 : à l'angle de la r. du Fort, maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. de commerce et de rapport, v. 1880, agrandie de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. r. du Fort en 1907 ; 33 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1869, exhaussée en 1952. Devanture act. de 1932 ; 34 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1881. Commerce établi en 1929 et transformé en 1958 ; 35 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1875, exhaussée en 1910. Devanture de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. de 1970 ; 36 : maison de 1900, intégralement parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. et transformée en 1954 ; 37 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1886, modifiée au r.d.ch. ; 38 : maison d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1900, exhaussée en 1909 par l'arch. Jean Maelschalck. Commerce établi postérieurement ; 39 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1867, arch. J. Delpierre (selon De Keyser, G., 1996). Devanture commerciale établie en 1927 ; 41 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1876, exhaussée en 1911 et parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de simili-briques rouges en 1962 ; 42 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1900. Commerce établi en 1920 (arch. Pierre De Gieter) et transformé en 1966 ; 43 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1875, dotée d'une jolie devanture à vitre courbe en 1922 (arch. L. Timmermans) et exhaussée en 1927 ; 44 : maison éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. à façade polychrome, 1900, arch. Prudent Mabbe (selon De Keyser, G., 1996), exhaussée en 1929 (arch. J. Delory), date à laquelle est probablement établie la jolie devanture Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., à jourOuverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. garni de vitraux abstraits ; 45 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1873, avec devanture de 1939, arch. Éloi Drake ; 46 : maison d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1898, Émile De Ligne (selon De Keyser, G., 1996). R.d.ch. commercial d'origine ; 47 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1874 (selon De Keyser, G., 1996) ; 48 : à l'angle de la r. Guillaume Tell, maison de rapport et de commerce, d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1897. Devanture sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. en bois redentéUn élément est dit en redent lorsqu'il est disposé de biais et fait saillie en petit éperon. Un élément animé de saillies de ce type est dit redenté ou à redents. ; 49 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., exhaussée en 1891. Commerce établi en 1926 puis modifié ; 50 : maison d'angle d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., édifiée en ensemble avec les nos 46 et 48 r. Guillaume Tell, 1897 ; 51, 53 : maisons néoclassiques, 1875. Commerces transformés en 1928 ; 52 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1878, caractérisée par des tablesPetite surface plane décorative, carrée ou rectangulaire. En menuiserie, on utilisera plus volontiers le terme panneau. d'allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. à guirlandeLa guirlande est un décor figurant un cordon de fleurs, feuilles ou fruits., probablement de 1929, date à laquelle le commerce est établi ; 54, 56, 58, 60 : quatre maisons d'allure néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. sur schéma répétitif, arch. Prudent Mabbe, 1888, caractérisées par des balcons continusUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées.. LucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. établie au no 56 (1955), au no 58 (1949) et au no 60. Commerces aux nos 54 et 56, resp. installés en 1928 (modification en 1980) et 1931. ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. aux nos 56 (1955) et 58 (1949) ; 55 : à l'angle de la r. du Fort, immeuble de commerce néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1874. Devanture act. de 1997 ; 57-59 et r. du Fort 51a-53 : immeuble postmoderneLe style postmoderne (à partir de 1980 environ) est un courant architectural né en réaction au modernisme, remettant au goût du jour certaines formes ornementales issues de l’architecture du passé (classicisme, Art Déco, etc.)., 1987, arch. Pierre Pirenne, remplaçant, r. Théodore Verhaegen, une maison de 1892 (selon De Keyser, G., 1996) ; 62-64 : immeuble anc. à usage de garage, 1950, arch. G. Heerebout. Modification en 1992 (remplacement de la porte de garage) et 1998 (changement des châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. aux étages), allant de pair avec un changement d'affectation (act. entrepôt et logement) ; 63 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1890, exhaussée en 1908 et conservant sa devanture en bois d'origine ; 67 : à l'angle de la r. Guillaume Tell, immeuble de rapport d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1900 ; 68 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1879, parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. (1949). Devanture commerciale établie en 1929 et transformée en 1949 ; 69 : à l'angle de la r. Guillaume Tell, immeuble de rapport d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1900, ayant conservé son r.d.ch. commercial à bossagesBossage. Saillie de la face d’un bloc de pierre par rapport au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit un sur deux lorsqu’un parement présente une alternance d’assises de blocs en bossages et de blocs dont le parement reste au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit rustique lorsque son parement est d’une taille grossière. Il est dit continu lorsqu'il se prolonge sur une assise entière. d'origine ; 70 : immeuble de garage, de bureaux et de logements, 1970, arch. H.N. Delvaux ; 71 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1898 ; 72 : immeuble de rapport de style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., 1927, arch. Robert Lemaire. Terrain anc. bâti à l'arrière : écuries et habitation en 1877, forge en 1882 ; 73 : maison de 1896, exhaussée en 1903. Commerce établi en 1920 (arch. Pierre De Gieter), avec porte axiale entre vitrines courbes ; 74-76-78 : immeuble de style modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé. à usage de garage pour autocar et de logements, 1966, arch. Jules Bauwens, en remplacement d'un immeuble à logements multiples pour ouvriers, arch. Prudent Mabbe, 1900 ; 80 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1899, exhaussée en 1929 (arch. Robert Lemaire) de deux niveaux dans le même style. Commerce établi au r.d.ch. en 1923. Bâtiment arrière de 1923, transformé en 1985, arch. A. Adriansens ; 81 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1878, avec commerce établi en 1920 (transformé) et lucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. de 1935 ; 82 : maison d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1899, arch. G. Beniaux (selon De Keyser, G., 1996), avec r.d.ch. transformé en commerce en 1921. En 1939, l'arch. Maurice Soubrier établit une devanture de style modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé., surhausse la maison et la pare de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. jaunes. ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. en carreaux de céramique crème et noir ; 84-84a : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1888, exhaussée en 1928. Beaux garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse ou une porte-fenêtre. conservés ; 86 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1898, exhaussée en 1927, arch. Charles De Wys ; 88-88a : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1887, surhaussée et parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. en 1931. Commerce établi en 1928 et transformé en 1990. Bâtiment arrière à usage de « vacherie » ; 90 : maison éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. à façade polychrome, 1901, exhaussée en 1909 et en 1928 (arch. Camille Wensmaekers). Commerce établi en 1926 ; 91 : voir nos 87, 89 ; 92 : maison de 1900, parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ultérieurement ; 94 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1901, exhaussée en 1907 ; 95-99 : immeuble de rapport d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1906. Commerces affectés en logement en 1993 ; 98, 100, 102, 104 : ensemble de quatre maisons de rapport, éclectiques à façade polychrome, conçues pour une même propriétaire en 1903. no 104 faisant l'angle avec la ch. de Forest, comprenant un niveau supplémentaire. nos 102 et 104 act. réunis et peints, à r.d.ch. transformé ; 103 : maison d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1901, avec commerce établi en 1921 et lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. en 1939 ; 105 : immeuble à appartements, résultant de la transformation et de la réunion, v. 1999, de deux maisons de resp. 1899 et 1879 ainsi que de leurs bâtiments arrière ; 108 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1899, arch. Edmond Fryson (selon De Keyser, G., 1996), exhaussée en 1938 ; 109, 111-113 : deux maisons de gabarit différent, édifiées en ensemble en 1896, arch. Hubert Marcq (selon De Keyser, G., 1996). no 109 présentant une composition originale d'une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. unique. no 111 doté d'une commerce en 1900 et exhaussé en 1928 ; 110 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1898. Balcon supprimé et r.d.ch. transformé en 1958 (arch. Hendrickx et Stevens) ; 112 : maison anc. de style néo-Renaissance flamandeLe style Renaissance flamande (XVIe s.) mêle des éléments inspirés de la Renaissance italienne à l’héritage architectural médiéval local. Le style néo-Renaissance flamande (de 1860 à 1914 environ) cherche à ressusciter cette architecture, à la faveur de l’émergence du nationalisme belge. Il se caractérise par des élévations en briques et pierres et des formes caractéristiques (pignons, tourelles, logettes)., 1896, radicalement transformée en 1966, arch. J. Ravestish (destruction du pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc., parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettes) ; 114-116 : maison éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. à façade polychrome, 1902 ; 115 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1880 ; 117, 119, 119a : à l'angle de la ch. de Forest, trois maisons néoclassiques, construites en ensemble avec le no 138 ch. de Forest, 1886 ; 121 : à l'angle de la ch. de Forest, maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. de 1890, exhaussée en 1910 ; 122 : maison de 1908, arch. François Kielbaey (selon De Keyser, G., 1996), rhabillée en style modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé. en 1960, arch. J. Sokol ; 123a : petite maison de commerce sous toit-terrasse, sur parcelle traversante avec le no 109 ch. de Forest ; 123 : garage, 1930, transformé en 1942, sur parcelle traversante avec le no 107 ch. de Forest ; 126 : maison d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1903, caractérisée par un balcon continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. au 2e niveau et axial au dern. R.d.ch. transformé par l'arch. Robert Lemaire en 1922 et par les arch. P. Evrard et L. Piryns en 1974 ; 134 : immeuble de rapport éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. à façade polychrome, 1908, arch. Jules Cornelis (selon De Keyser, G., 1996), percé en 1925 d'un magasin dans les caves hautesSous-sol à demi enterré, surélevant le rez-de-chaussée. ; 135 : maison de rapport d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., conçue en ensemble avec le no 9 pl. de Bethléem en 1902 ; 136, 138 et r. Fernand Bernier 2 : trois maisons de rapport d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1905, arch. Jean Maelschalck. Commerce du no 136 modifié en 1912 (vitrine et porte axiale), celui du no 138 modifié en 1906 et 1961 ; 142-144 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1912, arch. Camille Wensmaekers (selon De Keyser, G., 1996). Commerce modifié en 1975 (arch. Robert Philippart) ; 145-147 : anc. cinéma « Faby ». Salle de cinéma, arch. Gui Rousseau, 1954, sur parcelle traversante avec le no 67-69 r. du Danemark (garage). La salle (31,8 m x 17,1 m) est perpend. à la rue et comptait à l'origine 804 places disposées en parterre de 31 rangées. Elle est augmentée à 1250 places en 1967. Décor intérieur act. disparu, fait de lambrisLe lambris est un revêtement de menuiserie, de marbre ou de stuc couvrant la partie inférieure ou l'entièreté des murs d’une pièce. en okoumé, de murs enduitsL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. en faséritte et de boiseries rose foncé. Fermée en juin 1976, elle est affectée en salle des fêtes puis en magasin. Façade du no 145, de trois niveaux, revêtue de quartz au r.d.ch., en briques rouges aux étages. R.d.ch. trapézoïdal de deux niveaux sous auventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine. en béton. Étages : baies en bandeauFenêtre percée sur une grande partie de la largeur de la façade et formant visuellement un bandeau. sur appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. de pierre bleue, châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à petits carreaux d'origine ; 156, 158 : deux maisons différenciées d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1907, arch. Joseph Dierickx. En 1968, r.d.ch. réunis et recouverts d'un cadre unique en plastique ton aluminium insérant des glaces claires et des panneauxLe terme panneau désigne un élément de menuiserie rectangulaire ou carré, enserré dans la structure d’une porte ou d’un lambris. de plastique foncé (arch. E. Delvaux) ; 159, 161 : deux maisons ouvrières identiques à l'origine, 1892. no 159 exhaussé d'un niveau en 1909 et re-cimenté en 1946. no 161 exhaussé de deux niveaux en 1930 et parementéRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ; 163 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1893, exhaussée en 1932 ; 166-166a : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1900, arch. Prudent Mabbe. LucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. établie en 1949. ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ; 167 : maison éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles., 1902, conçue en ensemble avec le no 128 r. Émile Féron, 1902, arch. Joseph Vincke ; 167b et r. Émile Féron 133 : immeuble d'angle néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1875, transformé en 1938 par l'arch. Georges Lambeau ; 169 : immeuble à appartements de style modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé., 1934, édifié en remplacement d'un hangar de 1879 ; 171 : maison de rapport d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1899. Devanture établie en 1912, act. entièrement modifiée ; 174 : maison de 1891, parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ; 176 : maison de 1890. LucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. établie en 1928 (arch. Jo De Bouwer). ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ; 178, 180 : à l'angle de la r. Émile Féron, deux maisons d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1878, entrepreneur Marcellin Dineur, conçues en ensemble avec les nos 130-130a et 132 r. Émile Féron ; 184 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1875, parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. et exhaussée en 1945 (arch. Henri Mathys) ; 185, 187 : maisons de 1895, anc. identiques. no 185 exhaussé en 1928. no 187 surhaussé et parementéRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. en 1941 (arch. Éloi Drake). Conserve une jolie porte Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs. ; 189 : maison néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1894, surhaussée d'un étage en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. en 1932 ; 190-192 : maison de style éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles., 1899, exhaussée en 1941. Conserve un joli balcon sur doubles consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. en volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc.. Commerce établi en 1988 ; 194 : maison d'esprit néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1892. LogetteLa logette est un petit ouvrage en surplomb qui s’étend sur un seul étage, contrairement à l’oriel qui en compte plusieurs ou s’allonge sur plusieurs travées. Contrairement au bow-window, logette et oriel sont d’ordinaire de plan rectangulaire ou trapézoïdal et semblent appliqués sur la façade., dern. niveau et mansardeUne toiture est dite mansardée lorsqu'elle présente deux pentes différentes sur le même versant. Le brisis est le pan inférieur de la toiture mansardée. Le pan supérieur se nomme le terrasson. établis en 1912, arch. G. Ch. Veraart ; 195, 197 : deux maisons, l'une anc. néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., l'autre éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. à façade polychrome, 1898, arch. François Souchez. no 195 exhaussé de deux niveaux et parementéRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. en 1954. LucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. établies postérieurement au no 197, qui conserve sa cornicheCorniche. Élément de couronnement d’un entablement, d’une élévation ou d’un élément d’élévation comme une baie ou une lucarne. La corniche se compose de moulures en surplomb les unes par rapport aux autres. La cimaise est la moulure supérieure de la corniche, située au-dessus du larmier. à toupiesLes tournages disposés sur la planche de larmier d’une corniche ou formant amortissement portent le nom de la forme à laquelle ils font songer : toupie, pomme de pin, gland. ; 199 : maison, 1897, act. parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante.. Commerce établi en 1904 et transformé en 1947, arch. Victor Duyckers. Balcon supprimé en 1948 ; 201 : maison, 1900, arch. Henri van Massenhove, transformée en 1941 (exhaussement, briquettes), arch. Éloi Drake ; 203-203a, 205 : deux maisons d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., entrepreneur François Verheren, 1892. no 203-203a transformé en 1937 ; 204 : maison éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. à façade polychrome, 1891, percée d'un commerce en 1941 (arch. Edgar Termotte) ; 206, 208, 210 et r. de Mérode 187, 189 : à l'angle, ensemble de cinq maisons, celle de l'angle (No 206) d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., les autres de style éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles., 1897. no 208 exhaussé de deux niveaux en 1927. no 210 exhaussé en 1929 ; 207, 211 : deux maisons de 1892 pour un même propriétaire, en ensemble avec le no 209 (voir notice). no 207 exhaussé et doté d'une logetteLa logette est un petit ouvrage en surplomb qui s’étend sur un seul étage, contrairement à l’oriel qui en compte plusieurs ou s’allonge sur plusieurs travées. Contrairement au bow-window, logette et oriel sont d’ordinaire de plan rectangulaire ou trapézoïdal et semblent appliqués sur la façade. en 1932. no 211 exhaussé en 1938 ; 212, 214, 216 : trois maisons de 1895 par un même propriétaire. nos 212, 214 enduitesL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. à faux-jointsEnduit dans lequel sont tracés des sillons pour suggérer un appareil de pierre., probablement en 1972, date à laquelle la devanture du no 214 est parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de schiste vert. no 216 surhaussé en 1927 ; 215 : maison de 1893, parementéeRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ; 217, 219 : deux maisons anc. néoclassiques, 1893, act. parementéesRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante.. no 217 exhaussé en 1929. R.d.ch. du no 219 transformé en commerce en 1943, modifié en 1960 ; 220, 222 : deux maisons d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1893, arch. Aug. Peeters. Le no 222 est la maison personnelle de l'arch. Il la surhausse en 1906 ; 221 : maison d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1891. Commerce établi en 1921, à devanture de bois ; 223 : immeuble de rapport d'angle, 1889. R.d.ch. transformé en 1916. ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ultérieur ; 224, 226 : deux maisons d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., 1894 ; 228, 230 : ensemble de deux maisons similaires, 1895. no 228 exhaussé en 1922 ; commerce établi en 1948.
Collection cartes postales Dexia Banque.
Ouvrages
Bruxelles, construire et reconstruire. Architecture et aménagement urbain 1780-1914 (Catalogue d'exposition), Crédit Communal de Belgique, Bruxelles, 1979, pp. 134-135.
Inventaire des salles de cinéma de la Région de Bruxelles-Capitale, La Rétine de Plateau asbl, Bruxelles, 1994, fiche 151.
Vie économique à Saint-Gilles…des origines à demain, Syndicat d'initiative de Saint-Gilles, 1993, pp. 109-128.
Archives des numéros ne figurant pas en notice
ACSG/Urb. 1-3 : 1625 (1861), 43, 172 (1881), 28 (1963) ; 3 : 17 (1992) ; 5-7 : 490, 612 (1882), 11 (1961), 8 (1969) ; 9 : 4607 (1865), 179 (1903), 64 (1940) ; 10-12 : 3428 (1876), 87 (1920), 197 (1935) ; 11, 13 : 7195 (1869), 136 (1931), 146 (1946) ; 14 : 2824 (1875), 14 (1959) ; 15, 17 : 2465 (1874), 2965 (1924), 97 (1928) ; 16 : 3518 (1876) ; 17 : 32 (1905), 197 (1928), 112 (1948) ; 19 : 2582 (1874), 450 (1925), 185 (1955) ; 20, 20a : 109 (1923), 38 (1929), 367 (1930), 76 (1966) ; 21 : 2782 (1875) ; 23 : 2935 (1875), 73 (1983) ; 24 : 2960 (1875), 2859 (1891) ; 25 : 2936 (1875), 98 (1961) ; 26 : 382 (1902), 119 (1950) ; 27 : 3058 (1875), 86 (1951) ; 29 : 4476 (1877), 182 (1939), 83 (1946) ; 30 : 4767 (1878), 358 (1926) ; 31 : 113 (1965) ; 32 : 347 (1907) ; 33 : 7235 (1869), 59 (1939), 240, 278 (1952) ; 34 : 108 (1881), 252 (1929), 69 (1958) ; 35 : 2914 (1875), 372 (1910), 65 (1970) ; 36 : 2278 (1900), 166 (1954) ; 37 : 1266 (1886) ; 38 : 2005 (1905), 10 (1909) ; 39 : 6101 (1867), 215 (1927) ; 41 : 3680 (1876), 9311 (1911), 24 (1962) ; 42 : 2060 (1900), 86 (1920), 8 (1966) ; 43 : 2963 (1875), 242 (1922), 419 (1927) ; 44 : 2293 (1900), 429 (1929) ; 45 : 2037 (1873), 51 (1929) ; 46 : 1215 (1898) ; 48 : 1059 (1897) ; 49 : 2729 (1874), 2883 (1891), 31 (1926) ; 51, 53 : 2920 (1875), 43, 79 (1928) ; 52 : 6035 (1878), 517 (1928) ; 54 : 1743 (1888), 339 (1928), 97 (1980) ; 55 : 2297 (1874), 139 (1997) ; 56 : 130 (1931), 138 (1955) ; 57 : 57 (1987) ; 58 : 74, 105 (1949) ; 62-64 ; 29 (1950), 106 (1992), 102 (1998) ; 63 : 3445 (1890), 306 (1908) ; 67 : 2279 (1900) ; 68 : 6209 (1879), 490 (1929), 86 (1949) ; 69 : 2109 (1900) ; 70 : 17 (1970) ; 71 : 1206 (1898) ; 72 : 4525 (1877), 383 (1882), 148 (1927) ; 74-76-78 : 1966 (1900), 143 (1966) ; 81 : 4965 (1878), 53 (1920), 64 (1935) ; 82 : 1974 (1899), 141 (1921), 64 (1939) ; 84-84a : 1906 (1888), 33 (1928) ; 88-88a : 1609 (1887), 410 (1928), 186, 342 (1931), 15 (1990) ; 90 : 61 (1901), 237 (1909), 123 (1926), 20 (1928) ; 91 : 222 (1903) ; 92 : 2299 (1900) ; 94 : 150 (1901), 131 (1907) ; 95-99 : 115 (1906), 8 (1993) ; 98, 100, 102, 104 : 1 (1903) ; 103 : 359 (1901), 143 (1921), 206 (1939) ; 105 : 5006 (1879), 1920 (1899) ; 108 : 1776 (1899), 119 (1938) ; 109, 111-113 : 472 (1896) ; 111-113 : 207 (1900), 289 (1928) ; 112 : 531 (1896), 29 (1966) ; 114-116 : 399 (1902) ; 115 : 6628 (1880) ; 121 : voir ch. De Forest 111: 31 (1910) ; 122 : 187 (1908), 49 (1960) ; 126 : 16 (1903), 53 (1922), 67 (1974) ; 134 : 64 (1908), 198 (1925) ; 136, 138 : 142 (1905), 270 (1912), 201 (1906), 166 (1961) ; 142-144 : 130 (1912), 79 (1975) ; 145-147 : 2 (1954) ; 156, 158 : 88, 114 (1907), 2808 (1924), 359 (1926) ; 159 : 3200 (1892), 161 (1909) ; 161 : 3201 (1892), 523 (1930) ; 163 : 3444 (1893), 2 (1932) ; 166-166a : 2175 (1900), 9 (1949) ; 167 : voir r. Émile Féron 128 : 2 (1902) ; 167b : voir r. Émile Féron 133 : 337 (1875), 30 (1938) ; 169 : 6556 (1879), 142 (1934) ; 171 : 1938 (1899), 288 (1912) ; 174 : 2768 (1891) ; 176 : 3493 (1890), 190 (1928) ; 178, 180 : voir r. Émile Féron 130-130a, 132 : 4163 (1878) ; 184 : 3220 (1875), 2 (1945) ; 185 : 139 (1895), 7 (1928) ; 187 : 89 (1895), 88 (1941) ; 189 : 3699 (1894), 13 (1932) ; 190-192 : 1712 (1899), 18 (1988) ; 194 : 3058 (1892), 274 (1912) ; 195 : 1315 (1898), 49 (1954) ; 197 : 1314 (1898) ; 199 : 931 (1897), 409 (1904), 198 (1947), 130 (1948) ; 201 : 2157 (1900), 122 (1941) ; 203-203a, 205 : 3157 (1892), 123 (1937) ; 204 : 3676 (1891), 94 (1941) ; 206, 208, 210 : 924 (1897) ; 207 : 3149 (1892), 209 (1932) ; 208 : 93 (1927) ; 210 : 215 (1929) ; 211 : 3150 (1892), 224 (1938) ; 212, 214, 216 : 4, 5 (1895), 294 (1927), 62 (1972) ; 215 : 3440 (1893) ; 217, 219 : 3447 (1893), 71 (1929), 1142 (1943), 130 (1960) ; 220, 222 : 3368, 3369 (1893), 47 (1906) ; 221 : 2736 (1891), 180 (1921) ; 223 : voir av. Fonsny 102 : 2234 (1889), 20 (1916) ; 224, 226 : 3582 (1894) ; 228, 230 : 28, 34 (1895), 220 (1922), 147 (1948).