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Chaussée d'Alsemberg
Cette notice concerne la partie de la voirie située sur Saint-Gilles. Consulter la notice de la partie de voirie sur Forest.
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La ch. d'Alsemberg part du carrefour de la Barrière de Saint-Gilles, suivant un axe nord-sud, pour se diriger vers le village d'Alsemberg, dont elle porte le nom. Ses maisons jusqu'aux nos 139 et 156 sont situées sur le territoire saint-gillois. La chaussée traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie. ensuite les communes de Forest, Uccle, Linkebeek et Beersel.
La carte de Jacques Van Deventer (v. 1550-1554) figure un long chemin ruralDans la seconde couronne de l'agglomération bruxelloise, on rencontre çà et là des bâtiments d'architecture rurale. Il s'agit d'habitations ou d'anciennes fermes, issues de villages aujourd'hui englobés dans la ville, présentant d'ordinaire de sobres façades de briques blanchies à la chaux, sous de hautes toitures de tuiles. Les exemples les plus remarquables remontent aux XVIIe - XVIIIe siècles. au tracé sinueux s'étirant de la porte de Hal, vers le sud. C'est probablement en partie sur l'assiette de cette voie que le 1er tronçon de la ch. d'Alsemberg, situé entre la Barrière de Saint-Gilles et Calevoet, est créé entre 1726 et 1730 environ. En 1740, la chaussée est prolongée jusqu'à Alsemberg.
Au début, comme le montre une carte de 1766 (voir Vernier, L., 1949, p. 109), la chaussée d'Alsemberg constitue un seul et même chemin avec la partie de l'act. ch. de Waterloo située dans son prolongement, comprise entre la porte de Hal et l'act. Barrière.
La ch. d'Alsemberg devient route provinciale en 1830. L'Atlas cadastral de 1837 la figure vierge de constructions. Sur un plan de Victor Besme du mil. du XIXe s. (voir Vernier, L., 1949, p. 42) apparaissent les 1res constructions, assez éparses.
Chaussée d'Alsemberg (Collection cartes postales Dexia Banque, v. 1930).
Les trois 1ers permis de bâtir conservés remontent à 1853, 1862 et 1863. La majorité des constructions ne voit toutefois le jourOuverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension. que durant le dern. tiers du XIXe s., suite au pavage de la chaussée en 1870 suivi du placement des égouts en 1872. Les 1res constructions sont destinées à l'habitation.
À partir de 1895, la chaussée est empruntée par le tramway électrique reliant la gare du Midi à Uccle-Globe. À partir de cette époque, elle connaît une intense activité commerçante. Les r.d.ch., transformés en devanture, connaissent de nombreuses modifications au cours du temps, principalement au cours des années 1940 à 1970, époque florissante pour le commerce. Celui-ci connaît, ces dern. décennies, une certaine perte de vitesse.
La majorité des façades relève du style néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., comme aux no 5 (1863), no 11 (1864), nos 14 et 16 (1853), des maisons jumellesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux. particulièrement anc. présentant de sobres et larges façades, no 32 (1896), no 46-46a (1902), no 57-57a (1882) à l'angle de l'av. des Villas, nos 81, 83 et 85, trois maisons jumelles (entrepreneur Hector Deprez et fils, 1902), nos 92 et 94 (1904), no 118 (1875), no 120 (1875), no 122 (1899) avec une devanture à carreaux de céramique (arch. André Watteyne, 1941). Dans la même veine, diverses maisons sont érigées à des dates indéterminées : les nos 7, 22, 53 et 55, des maisons jumellesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux., No 68-70, no 86, no 88, no 91, exhaussé d'un niveau, dont la devanture date de 1932 (arch. Maurice Vander Elst), ainsi que le no 154.
Bon nombre de ces maisons néoclassiquesLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. sont mal conservées. Le no 90 (1875) est déroché. D'autres voient leur enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. remplacé par un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante., comme les no 3 (1863), No 8-10 (1873), nos 11 et 13 (1864), No 15 (1897), No 20 (1864), no 24 (1872) briquetéLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. en 1942, conserve sa devanture de 1908, no 26 (1872), No 28 (1896), No 47 (1875) en 1941, No 50 (1901), No 62 (1862), no 74-74a (1871), No 80 (arch. Jean-Baptiste Mesmaeker, 1887), no 95 (1892), no 116 (1876), no 124 (1899), no 150-152 (1898) en 1947 et 156 (1898). Les dates de permis de bâtir de bon nombre de ces maisons néoclassiquesLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. recouvertes de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. ne sont pas connues aux nos 6, 12, 19 exhaussé en 1949, 33-35, 39 à 45 act. remembrés en un seul bâtiment, 49, 51, 58, 59, 61, 63 et 82. D'autres façades sont ré-enduites à faux-jointsEnduit dans lequel sont tracés des sillons pour suggérer un appareil de pierre., comme aux no 21, no 64 et no 73, tous deux mansardés, l'un en 1934, l'autre en 1953, no 76 (1871), no 79 (1892), no 84 (1871). Des maisons aujourd'hui dotées de fenêtres en bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. à la manière modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé. révèlent encore discrètement leur origine néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. par la présence de leur anc. cornicheCorniche. Élément de couronnement d’un entablement, d’une élévation ou d’un élément d’élévation comme une baie ou une lucarne. La corniche se compose de moulures en surplomb les unes par rapport aux autres. La cimaise est la moulure supérieure de la corniche, située au-dessus du larmier., comme aux no 9 (1864), no 60, no 78, no 93 (1892). Les nos 69 et 71 (tous deux de 1875) sont rhabillés en style éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles..
À la charnière des XIXe et XXe s., de nombreuses maisons éclectiques à façade polychromeDans l'inventaire, le style éclectique à façade polychrome désigne un type de façade assez courant en Belgique entre 1890 et 1914, d’ordinaire de composition asymétrique, caractérisé par un parement de briques à jeu polychrome et par un souci de décoration., pour la plupart de composition asymétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition asymétrique lorsqu’elle compte deux travées inégales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux. La travée principale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré. Les caves, d’ordinaire à demi enterrées, se marquent en façade par un soubassement élevé., voient le jourOuverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension., tels les no 18 (arch. Pierre de Gieter, 1914), no 96-96a et r. de Savoie 59 (arch. Jean Maelschalck, 1903), no 101 (1913), no 126 (1899). Le no 130-132, teinté de style néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. (arch. A. Sarot, 1899) forme l'angle de la r. Antoine Bréart, où il porte le no 153-155.
Ces habitations sont parfois construites en ensemble, comme les nos 115 à 121, quatre maisons éclectiquesStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. de 1888 agencées en miroir de deux fois deux maisons semblables. L'ensemble est aujourd'hui déparé par l'exhaussement du no 115 en 1928 et du no 117 en 1935, ainsi que par un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briquettesLes briquettes sont des plaques de terre cuite, de faible épaisseur, imitant des briques, appliquées sur une façade pré-existante. Elles ne sont pas, en principe, utilisées pour des constructions neuves, mais plutôt pour des rénovations qui visent à donner l’aspect d’une maçonnerie de briques de parement à une façade existante. au no 121 en 1953. Aux nos 140 à 146, ensemble de maisons de 1903, relativement bien conservé. Ses r.d.ch. sont convertis en commerces, celui du no 142 en 1938 (arch. A. Foidart et P. Van Eyck), celui no 146 en 1935 (arch. Henri De Saedeleer), ceux des nos 140 et 144 par l'arch. Robert Herpain en resp. 1937 et 1936. La devanture du no 144, bien conservée, est parée de carrelage vert et noir, act. peint en blanc ; à dr., porte d'entrée de style paquebotLe style Paquebot (années 1930) est une esthétique architecturale inspirée de l’architecture navale (fenêtres rondes, balustrade ou balcon arrondi, fluidité des lignes)..
D'autres devantures commerciales intéressantes sont conservées çà et là. Au no 17 (1875), une devanture revêtue de carreaux de faïenceCéramique cuite à une température relativement basse, dissimulée sous une glaçure opaque, blanche ou colorée. La faïence est volontiers utilisée pour les décors intérieurs, car elle se conserve relativement mal à l'extérieur. (arch. Charles De Wys, 1938). Au No 26, devanture Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs. établie en 1933 par l'arch. Louis Deltombe. Au no 30 (1896), devanture modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé. en mosaïque verte, avec baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. portant l'inscription « Spécialités orthopédiques » (bureau d'arch. Sinceritas, 1947). Le no 54-54a (voir ce n°), à l'angle de la r. Adolphe Demeur, présente un r.d.ch. commercial dès 1894.
Le style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., plutôt concentré sur le tronçon vers la pl. Albert, est adopté pour la modernisation de maisons plus anc. : au no 37, façade fin XIXe s., rhabillée par l'arch. Pierre De Gieter en 1929 ; au No 56 (entrepreneur Jean-Baptiste Carsoel, 1863), nouvel enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. de style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs. en 1928 par l'arch. Pierre Netels ; au no 105, façade fin du XIXe s. rhabillée en 1935. Aux nos 135 et 137-137a, l'entrepreneur Gabriel Duhoux fait construire en 1924 deux immeubles identiques de style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs. dont les commerces ont été modernisés resp. en 1964 et 1965.
La chaussée comporte également quelques immeubles de rapport. Le plus anc. est édifié au no 36-36a-38 en 1911 et exhaussé d'un niveau en 1924. Cependant, la plupart des immeubles de rapport sont construits après la Seconde Guerre mondiale. Ils sont pour la plupart de petite taille : environ 7 m de large sur trois à cinq niveaux, comme aux no 4 (1946), 23-25 (1951), 34 (1938), 67 (1967), 110 (arch. Robert Swaelens, 1961), 112 (1931) de style éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. teinté d'Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., 131 (arch. Pierre De Gieter, 1926) présentant une devanture moderne en aluminium, 133 (arch. Pierre De Gieter, 1924), 135 et 137 (entrepreneur Gabriel Duhoux, 1924), no 136 (arch. Robert Lemaire, 1945) avec devanture commerciale remplacée en 1978 (arch. Robert Nève), no 138 (arch. Jean Tombeur, 1961).
Notons également diverses constructions récentes. Le no 114 est dessiné par l'arch. Jean-Pierre Debaise en 1990 à la place d'une maison datant de 1877. Le no 123 (1862) est agrandi et exhaussé d'un niveau en 1929 par l'arch. Georges Servais. En 1981, le r.d.ch. et la façade sont réaménagés pour l'établissement d'une banque.
Archives
ACSG/Urb. 3 : 176 (1863) ; 4-6 : 164 (1946) ; 5 : 240 (1863) ; 8-10 : 1895 (1873) ; 9 : 269 (1864) ; 11 : 269 (1864) ; 14 et 16 : 3675 (1853) ; 15 : 982 (1897) ; 17 : 3256 (1875) ; 18 : 6/4 (1853) ; 19 : 19 (1949) ; 20 : 309 (1864) ; 23, 25 : 123 (1951) ; 24, 26 : 648 (1870), 26 : 51 (1933) ; 28, 30, 32 : 611 (1896) ; 30 : 106 (1947) ; 34 : 319 (1938) ; 36-36a-38 : 150 (1911), 366 (1926) ; 37 : 327 (1929), 130 (1941) ; 44 : 21 (1905) ; 46 : 202 (1902) ; 47 : 3351 (1875) ; 50 : 166 (1901) ; 56 : 188 (1863), 324 (1928) ; 57-57a : 203 (1882) ; 62 : 127 (1862) ; 64 : 6 (1934) ; 69 : 3300 (1875) ; 71 : 3301 (1875) ; 73 : 157 (1953) ; 74-74a : 1097 (1871) ; 76 : 1230 (1871) ; 79 : 310 (1892) ; 80 : 2125 (1873) ; 81, 83, 85 : 392 (1902) ; 84 : 1229 (1871) ; 90 : 2821 (1875) ; 91 : 27 (1932) ; 92, 94 : 145 (1904) ; 93 : 3077 (1892) ; 95 : 2955 (1892) ; 96-96a : 183 (1903) ; 101 : 316 (1913) ; 105 : 75 (1935) ; 110 : 42 (1961) ; 112-114 : 1347 (1877) ; 114 : 77 (1990) ; 115 à 121 : 1844 (1888), 251 (1928), 82 (1935), 197 (1953) ; 116 : 3890 (1876) ; 118 : 3160 (1875), 123 (1961) ; 120 : 3221 (1875) ; 122, 124 : 1737 (1899) ; 123 : 911 (1862), 489 (1929), 7 (1981) ; 126-128 :1737 (1899) ; 130-132 et r. Antoine Bréart 153-155 : 1569 (1899) ; 135-137 : 105 (1924), 133 (1924), 71 (1964), 46 (1965) ; 136 : 178 (1863), 17 (1978) ; 138 : 50 (1961) ; 140 à 146 : 95 (1903) ; 140-140a : 231 (1937) ; 142-142a : 268 (1938) ; 144-144a : 256 (1936) ; 146 : 209 (1935) ; 150-152 : 1153 (1898), 203 (1947) ; 154, 156 : 149 (1898).
Collection cartes postales Dexia Banque.
Ouvrages
Saint-Gilles Ensembles urbanistiques et architecturaux remarquables, ERU asbl, Bruxelles, 1988, p. 35.
VERNIERS, L., Histoire de Forest-lez-Bruxelles, éd. De Boeck, Bruxelles, 1949, pp. 105-111, 212.
Périodiques
DONS, R., « Les voies de communication à Obbrussel-Saint-Gilles jusqu'au début de 1840 (2e partie) », Le Folklore brabançon, 272, 1991, pp. 341-345.