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Clinique Antoine Depage Kliniek
Avenue Henri Jaspar 100-101
Rue Berckmans 143-145
Identification
- Identifiant
- 4701
Données administratives
- Recherches et rédaction
- 1997-2004
Caractéristiques
- Intervenant(s)
- Gustave HANSOTTE (1873 - architecte)
- Paul BONDUELLE (1921 - architecte)
- Typologie(s)
- Hôpital/clinique
- Style(s)
- Néoclassicisme
Description
À l'origine, Institut ophtalmique, bâtiment néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. de trois niveaux, conçu pour la Députation permanente de la Province du Brabant, par leur arch. Gustave Hansotte, 1873.
Elle est édifiée sur parcelle traversante avec le no 143-145 r. Berckmans, où elle est en partie bordée d'un mur de clôture. Le bâtiment est surhaussé d'un niveau en 1912 (arch. Jules Brunfaut) pour le compte du nouveau propriétaire, la Societé franco-belge des Fours à Coke (qui deviendra plus tard la SA Union chimique). La même société fait construire, à l'arrière, un bâtiment à usage de dépôt et laboratoire en 1913.
En 1921, un bâtiment à usage de bureaux est conçu au no 143-145 r. Berckmans (arch. Paul Bonduelle). Ce n'est qu'en 1935 que l'ensemble est affecté en clinique par l'arch. Jean Cailleau, sur l'initiative du docteur Antoine Depage qui lui donne son nom. L'intérieur est alors profondément modifié.
Elle est édifiée sur parcelle traversante avec le no 143-145 r. Berckmans, où elle est en partie bordée d'un mur de clôture. Le bâtiment est surhaussé d'un niveau en 1912 (arch. Jules Brunfaut) pour le compte du nouveau propriétaire, la Societé franco-belge des Fours à Coke (qui deviendra plus tard la SA Union chimique). La même société fait construire, à l'arrière, un bâtiment à usage de dépôt et laboratoire en 1913.
En 1921, un bâtiment à usage de bureaux est conçu au no 143-145 r. Berckmans (arch. Paul Bonduelle). Ce n'est qu'en 1935 que l'ensemble est affecté en clinique par l'arch. Jean Cailleau, sur l'initiative du docteur Antoine Depage qui lui donne son nom. L'intérieur est alors profondément modifié.
Au no 100-101, élévation de sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., l'axiale plus large. R.d.ch. en pierre bleue à bossagesBossage. Saillie de la face d’un bloc de pierre par rapport au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit un sur deux lorsqu’un parement présente une alternance d’assises de blocs en bossages et de blocs dont le parement reste au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit rustique lorsque son parement est d’une taille grossière. Il est dit continu lorsqu'il se prolonge sur une assise entière.. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés.
Au no 143-145 r. Berckmans, élévation d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. de cinq niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à front de rue. Le dernier étage semble ultérieur. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à guillotineUne fenêtre à guillotine est une fenêtre dont l’ouvrant coulisse dans une rainure verticale, évoquant ainsi une guillotine. et croisillons.
Archives
ACSG/Urb. 2106 (1873), 202 (1912), 103 (1913), 8 (1921), 184 (1935).
Ouvrages
Ouvrages
BONNET, D., Jules Brunfaut 1852-1942, (Mémoire) Institut supérieur d'architecture de l'état La Cambre, Bruxelles, 1985.
Périodiques
LANOE, J., « La clinique Antoine Depage », Bâtir, 75, 1939, pp. 74-75.
Périodiques
LANOE, J., « La clinique Antoine Depage », Bâtir, 75, 1939, pp. 74-75.
Abréviations | Recherches et rédaction : 1997-2004.