Typologie(s)

maison ou immeuble de rapport
ascenseur historique

Intervenant(s)

Émile HENRYarchitecte1925

Styles

Éclectisme
Beaux-Arts

Inventaire(s)

  • Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Forest (DPC-DCE - 2014-2020)
  • Inventaire des ascenseurs historiques (Homegrade - DPC)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Social
  • Technique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016-2019

id

Urban : 36534
voir plus

Description

Immeuble de rapport de style éclectique rehaussé d’éléments Beaux-ArtsStyle Beaux-Arts (de 1905 à 1930 environ). Courant architectural puisant son inspiration dans les grands styles français du XVIIIe siècle. Riche et ornementé, il se caractérise souvent par des élévations en (simili-)pierre blanche et/ou brique orangée ainsi que par l’usage du fer forgé pour les garde-corps et la porte., par l’architecte Émile Henry, millésimé «anno 1925» dans les vases sous la corniche centrale en arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné.. Atelier à l’arrière de la parcelle bâti la même année par le même architecte et qui servait à l’origine d’usine d'éclairage «Le Néon».

Élévation de quatre niveaux alignant trois travées aux étages, sous toiture mansardée. Façade en briques jaunes rehaussée d’éléments en simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris., en pierre blanche et en pierre bleue. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. pour la plupart rectangulaires, celles du quatrième niveau et de la mansarde à arc en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle.. Accent mis sur la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale par une large entrée principale à encadrement en gorge, et balcon en pierre à balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. au premier étage. Les deux étages suivants sont flanqués de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. monumentaux. Amortissement en arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. et amortissements au-dessus de fenêtres à meneauÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie.. Travées latérales marquées par un oriel de plan trapézoïdal. Nombreux éléments décoratifs à arabesquesComposition ornementale mêlant des éléments variés : végétaux, draperies, fruits, rubans, personnages, etc., motifs végétaux et libellules. En travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. latérales, lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres.. Première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. percée de la porte d’accès aux logements, la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale de la porte d’accès aux bureaux et porte cochère avec accès à la cour à hauteur de la dernière travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. en partie conservée.

Intérieur: sur le plan d’origine, petit ascenseur dans le couloir, dans le prolongement de l’entrée principale.

Élévation de deux niveaux et huit travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous toit plat. Façade en briques. Larges baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires. TrumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau. rythmés par des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. qui dépassent légèrement de la façade. La cour est partiellement couverte en 1952.

Sources

Archives
ACF/Urb. 8577 (1925), 8607 (1925), 8781 (1926), 15904 (1952).

Ouvrages
CULOT, M. (dir.), Forest. Inventaire visuel de l'architecture industrielle à Bruxelles, AAM, Bruxelles, 1980-1982, fiche72.