Typologie(s)
immeuble à appartements
Intervenant(s)
Paul PICQUET – architecte – 1922
INCONNU - ONBEKEND – 1905
Styles
Éclectisme
Art nouveau
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Forest (DPC-DCE - 2014-2020)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
Recherches et rédaction
2014-2016
id
Urban : 36843
Description
Immeuble
à appartements de style éclectique teinté d’éléments Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise., résultant de
la transformation en 1922 par l’architecte Paul Picquet d’une maison bourgeoise
de 1905.
Il fait partie d’une enfilade d’immeubles remarquable, allant du n°92 au n°114.
Sur un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue, élévation parée de pierre blanche alignant trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de largeurs inégales et comptant quatre niveaux, les deux derniers ajoutés en 1922. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. pour la plupart rectangulaires, certaines à croisée ou meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. de pierre. Première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. percée aux étages de loggiasPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. (triplets) fermées d’une balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire.. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale marquée aux étages d’un oriel de plan légèrement courbe flanqué de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. à amortissementAmortissement. Élément décoratif placé au sommet d’une élévation.Amorti. Sommé d'un amortissement., sommée d’une imposante lucarne passante. Toiture mansardée éclairée de deux lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. sous frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches.. Menuiserie partiellement conservée, dont la remarquable porte cochère.
Sur parcelle traversante avec le n°113-113A-115-115A rue Berkendael, où se dresse un mur de clôture (1908), percé ultérieurement de quatre portes de garages (architecte P. Picquet, 1922).
Façade précédée d’une zone non aedificandi partiellement aménagée en jardinet et fermée de murets et piliers en pierre bleue enserrant des grilles, d’origine.
Il fait partie d’une enfilade d’immeubles remarquable, allant du n°92 au n°114.
Sur un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue, élévation parée de pierre blanche alignant trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de largeurs inégales et comptant quatre niveaux, les deux derniers ajoutés en 1922. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. pour la plupart rectangulaires, certaines à croisée ou meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. de pierre. Première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. percée aux étages de loggiasPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. (triplets) fermées d’une balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire.. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale marquée aux étages d’un oriel de plan légèrement courbe flanqué de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. à amortissementAmortissement. Élément décoratif placé au sommet d’une élévation.Amorti. Sommé d'un amortissement., sommée d’une imposante lucarne passante. Toiture mansardée éclairée de deux lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. sous frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches.. Menuiserie partiellement conservée, dont la remarquable porte cochère.
Sur parcelle traversante avec le n°113-113A-115-115A rue Berkendael, où se dresse un mur de clôture (1908), percé ultérieurement de quatre portes de garages (architecte P. Picquet, 1922).
Façade précédée d’une zone non aedificandi partiellement aménagée en jardinet et fermée de murets et piliers en pierre bleue enserrant des grilles, d’origine.
Sources
Archives
ACF/Urb.
3738, 7361 (1922), 9406 (1927), 9660 (1928), 13510 (1937), 21094; rue Berkendael 113-113A-115-115A:
4612 (1908), 7361 (1922), 7413 (1922), 7614 (1923), 8117 (1924).
Périodiques
L’Album de la Maison moderne, 1908.