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Rue de l'Orme
Cette notice concerne la partie de la voirie située sur Etterbeek. Consulter la notice de la partie de voirie sur Schaerbeek.
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Décrétée en 1896 pour relier la r. du Noyer (Schaerbeek) à la r. de Linthout, elle suit le tracé d'un anc. chemin, le « sentier de Linthout », le long duquel s'élèvaient déjà des maisons et qui marque la limite territoriale entre Etterbeek et Schaerbeek. Seul le côté impair est etterbeekois.
Il compte de nombreuses petites maisons d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., souvent regroupées en ensembles, construites entre 1880 et 1910. Façades généralement enduitesL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc., de deux niveaux et deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants., tels les nos 3 à 17 (1889 ; l'ensemble se prolonge r. Gérard du no 2 au no 14 ; les nos 5, 7 et 15 ont subi d'importantes transformations), 37 à 43 (1892), 51 (1893, arch. Franz ROELANT ; exhaussé en 1905), 53 (1904), 59 (1902), 61 à 71 (1902; nombreuses transformations, seul le no 71 est dans son état d'origine), 73 (1902 ?), 75 (exhaussé d'un étage en 1926) ou 77-79 (1908 ; immeuble plus important, de trois niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., construit à l'angle de la r. de Linthout, avec r.d.ch. commercial). Quelques-unes sont en briques comme les nos 45 à 49 (vers 1900).
Plusieurs constructions sont plus tardives, tels les nos 23 (1922) ou 25-27 (1924). Peu d'immeubles à appartements, excepté le no 21 (1935, arch. Fernand LIPPENS) et les bâtiments aux angles formés avec la r. Charles Degroux.
Il compte de nombreuses petites maisons d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., souvent regroupées en ensembles, construites entre 1880 et 1910. Façades généralement enduitesL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc., de deux niveaux et deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants., tels les nos 3 à 17 (1889 ; l'ensemble se prolonge r. Gérard du no 2 au no 14 ; les nos 5, 7 et 15 ont subi d'importantes transformations), 37 à 43 (1892), 51 (1893, arch. Franz ROELANT ; exhaussé en 1905), 53 (1904), 59 (1902), 61 à 71 (1902; nombreuses transformations, seul le no 71 est dans son état d'origine), 73 (1902 ?), 75 (exhaussé d'un étage en 1926) ou 77-79 (1908 ; immeuble plus important, de trois niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., construit à l'angle de la r. de Linthout, avec r.d.ch. commercial). Quelques-unes sont en briques comme les nos 45 à 49 (vers 1900).
Plusieurs constructions sont plus tardives, tels les nos 23 (1922) ou 25-27 (1924). Peu d'immeubles à appartements, excepté le no 21 (1935, arch. Fernand LIPPENS) et les bâtiments aux angles formés avec la r. Charles Degroux.
Archives
AR 14.10.1896
ACEtt/TP 173720 (1889, r. Gérard), 3075, 3121, 3152, 3155 (1892), 198825 (1893), 9536 (1899), 13214, 13406, 14388 (1902), 15530 (1903), 16712 (1904), 17914, 18265 (1905), 3841 (1908), 2132 (1922), 5805 (1924), 8187 (1926), 3875 (1929), 8342 (1931), 3431 (1933), 4843 (1934), no d'ordre 360 (1935), TP 1023 (1951), 4704 (1955), reg. d'entrée 1027, 1040 (1960), 1216 (1961), 1553, 1570 (1963), 3556 (1984).
RC 1870, p. 16, 1897, p. 77.
Ouvrages
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, pp. 54 et 68.
AR 14.10.1896
ACEtt/TP 173720 (1889, r. Gérard), 3075, 3121, 3152, 3155 (1892), 198825 (1893), 9536 (1899), 13214, 13406, 14388 (1902), 15530 (1903), 16712 (1904), 17914, 18265 (1905), 3841 (1908), 2132 (1922), 5805 (1924), 8187 (1926), 3875 (1929), 8342 (1931), 3431 (1933), 4843 (1934), no d'ordre 360 (1935), TP 1023 (1951), 4704 (1955), reg. d'entrée 1027, 1040 (1960), 1216 (1961), 1553, 1570 (1963), 3556 (1984).
RC 1870, p. 16, 1897, p. 77.
Ouvrages
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, pp. 54 et 68.
Abréviations | Recherches et rédaction : 1993-1995.