Intervenant(s)

J. DUBOISentrepreneur, architecte1925

Styles

Beaux-Arts

Inventaire(s)

  • Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Etterbeek (DMS-DML - 1994-1997)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

1993-1995

id

Urban : 13781
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Description

Maison construite d'après une demande de permis de bâtir de 1925 selon les plans de l'arch. J. DUBOIS.

Façade en briques rouges, pierre blanche et simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris. blanche de trois niveaux sur un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. percé d'une ouverture de cave rect. grillée. Au r.d.ch., une porte de garage rect. à deux battants partiellement vitrés sous une fenêtre en dessus de porteUne fenêtre est dite en dessus de porte lorsqu’elle surmonte une porte sans être directement en contact avec elle : la porte est séparée de la fenêtre par un petit pan de mur ou par un entablement ; porte et fenêtre possèdent chacune un encadrement propre. plus étroite inscrite dans un riche encadrement plat terminé par les volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. rentrantes encadrant une coquilleOrnement symétrique figurant une coquille Saint-Jacques ou un coquillage s’en rapprochant. sculptée. Même organisation reprise pour la porte d'entrée à l'autre extrémité du bâtiment. Entre les deux, une grande fenêtre. Au 1er étage, une large logette en simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris. blanche de plan trapézoïdal prolongée en cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées.. Soutenue par une consolePièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. centrale très ouvragée, elle est ajourée d'une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. centrale en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. entourée de quatre fenêtres rect. étroites sous une petite toiture. Elle est suivie d'une fenêtre. Au dern. niveau, trois fenêtres rect. identiques. Toutes les ouvertures, exceptées celles de la logette, présentent des encadrements plats à crossettesRessauts décoratifs situés aux angles d’un élément tel qu’un encadrement. supérieures et clefsClaveau central d’un arc ou d’une plate-bande. Il s’agit d’un élément architectonique. Le terme s'utilise également pour des éléments purement décoratifs qui évoquent une clef à rôle structurel. saillantes sculptées. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à petits-bois. Corniche de bois à soffite panneauté.

Sources

Archives

ACEtt./TP 6289 (1925).