Typologie(s)
hôtel particulier
Intervenant(s)
Tilman-François SUYS – architecte – 1843
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 30437
Description
À l’angle de la place
du Petit Sablon, imposant hôtel de maître de style néoclassique dessiné en 1843
par l’architecte T.-F. Suys pour le duc Prosper-Louis d’Arenberg.
Caves hautes, trois niveaux, six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à gauche et huit à droite, bâtièreToit à deux versants.. Façade enduite et peinte employant la pierre blanche pour les bossages plats du rez-de-chaussée et les chaînes d’angle des étages, et la pierre bleue pour le soubassement profilé, les cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. et les encadrements des fenêtres. Division en registres et accentuation des extrémités par des harpesLes harpes sont une superposition d’éléments dont la tête est alternativement courte et longue.. Vers la rue des Petits Carmes, quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. droites prévues lisses et nues, actuellement semblables aux autres et percées à gauche d’un portail cintré accosté de chasse-roues. Fenêtres rectangulaires inscrites au rez-de-chaussée, encadrements moulurés au bel étage, souligné par un bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. d’appui, et au deuxième étage, moins élevé. Cordon, friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. panneautée en relief avec trous de boulin, corniche. En attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement., balustrade scandée par des désÉléments de pierre de section sensiblement carrée ou rectangulaire, disposés généralement aux angles d’un balcon., placée en 1926-1927, lors de la profonde transformation de l’intérieur commandée par le «Comité Spécial du Katanga» à l’architecte E. Jaspar qui ajouta notamment un étage entresolé dans les trois dernières travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. droites.
Caves hautes, trois niveaux, six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à gauche et huit à droite, bâtièreToit à deux versants.. Façade enduite et peinte employant la pierre blanche pour les bossages plats du rez-de-chaussée et les chaînes d’angle des étages, et la pierre bleue pour le soubassement profilé, les cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. et les encadrements des fenêtres. Division en registres et accentuation des extrémités par des harpesLes harpes sont une superposition d’éléments dont la tête est alternativement courte et longue.. Vers la rue des Petits Carmes, quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. droites prévues lisses et nues, actuellement semblables aux autres et percées à gauche d’un portail cintré accosté de chasse-roues. Fenêtres rectangulaires inscrites au rez-de-chaussée, encadrements moulurés au bel étage, souligné par un bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. d’appui, et au deuxième étage, moins élevé. Cordon, friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. panneautée en relief avec trous de boulin, corniche. En attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement., balustrade scandée par des désÉléments de pierre de section sensiblement carrée ou rectangulaire, disposés généralement aux angles d’un balcon., placée en 1926-1927, lors de la profonde transformation de l’intérieur commandée par le «Comité Spécial du Katanga» à l’architecte E. Jaspar qui ajouta notamment un étage entresolé dans les trois dernières travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. droites.
Sources
Archives
AVB/TP 19274 (1843), 34378 (1926-1927).