Typologie(s)

maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1690-1710

INCONNU - ONBEKEND1935

Pierre LALOUXarchitecte1967

Styles

Architecture traditionnelle
Néo-traditionnel

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
  • Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Archéologique
  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 33339
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Description

Dans son état actuel, façade cimentée, de trois niveaux et une seule travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., masquant sans doute un noyau de la fin du XVIIe siècle ou du début du XVIIIe siècle repérable aux ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en I, modifiée en 1935.

Baies rectangulaires, au deuxième étage entre deux trous de boulin, indice d’un pignon couronnant jadis l’élévation et dont cette baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. constituait la fenêtre axiale. Rez-de-chaussée décapé en 1967 sur les plans de l’architecte P. Laloux. Soubassement en grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice., comme l’encadrement de porte voisin. Montants harpés creusés en gorge, arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. cintré à clé sur impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. associé à un pourtour rectangulaire, bordé d’un larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. interrompu par le prolongement de la clé, ménageant les écoinçonsEspace de mur ménagé de part et d’autre d’un arc. en briques. Souligné par une traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie. en bois, jour d’imposte à petits-bois rayonnants, du XIXe siècle, au-dessus d’un vantail sculpté placé en 1967. Au cours de ces travaux, disparition d’une devanture installée entre les montants, partiellement conservés, des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à croisée d’origine, chaînés et creusés en gorge.

Sources

Archives
AVB/TP 43287 (1935), 80003 (1967).

Sites internet
BALat KIK-IRPA (rez-de-chaussée)