Grande vinaigrerie nationale L'Etoile
Rue de la Forêt d'Houthulst 2-4
Quai au Bois de Construction 11
Typologie(s)
usine
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1900-1920
Styles
Néo-traditionnel
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Inventaire du patrimoine industriel (La Fonderie - 1993-1994)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 32520
Description
À l’angle de la rue
Forêt d’HouthuIst, bâtiment aménagé au début du XXe siècle en style
néo-traditionnel, au départ d’un édifice en style classique tardif occupé par
la «Grande Vinaigrerie Nationale l’Étoile» et dont on conserve l’ampleur, les
baies de l’étage et l’ancrage en fleur de lys de ce niveau.
Trois niveaux actuellement et sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers le quai, deux latéralement, sous bâtièresToit à deux versants. croiséesBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit. couvertes de tuiles. Au-dessus d’un rez-de-chaussée autrefois à portail latéral, aujourd’hui totalement éventré pour une station-service, façade en briques ajourée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires à encadrement cimenté, sur appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant. Rythmant aussi celles du dernier niveau, ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en fleur de lys récupérées de l’ancien rez-de-chaussée. Dominant les trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales, pignon à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins. ouvert d’une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. cintrée à clé, sur impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie., ponctué de deux ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en X. À la façade latérale enduite, juxtaposition de deux pignons à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins..
Trois niveaux actuellement et sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers le quai, deux latéralement, sous bâtièresToit à deux versants. croiséesBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit. couvertes de tuiles. Au-dessus d’un rez-de-chaussée autrefois à portail latéral, aujourd’hui totalement éventré pour une station-service, façade en briques ajourée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires à encadrement cimenté, sur appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant. Rythmant aussi celles du dernier niveau, ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en fleur de lys récupérées de l’ancien rez-de-chaussée. Dominant les trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales, pignon à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins. ouvert d’une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. cintrée à clé, sur impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie., ponctué de deux ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en X. À la façade latérale enduite, juxtaposition de deux pignons à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins..
Sources
Archives
IRPA, clichés ACL 3529A (avant 1910) et 25157A (1942).