Typologie(s)
maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)
carré
carré
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1600-1699
Styles
Architecture traditionnelle
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Social
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 32494
Description
Maison traditionnelle perpendiculaire, du XVIIe
siècle, originellement à façade-pignon à gradins — respectivement huit et sept
sous pinacleAmortissement élancé de plan carré ou polygonal. — de deux niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., sous bâtièreToit à deux versants. de tuiles;
briques et pierre blanche postérieurement enduites et peintes; ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en I. En
1948, suppression des gradins, aménagement d’une croupeUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux. dans la toiture et
exhaussement de la façade, de part et d’autre du niveau de base du pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. devenant
troisième niveau d’une façade sous corniche. Au rez-de-chaussée partiellement
remanié, portail accédant à la rue de la Cigogne, à droite, récemment
débarrassé des boiseries le masquant : encadrement en pierre blanche, creusé en
cavet, cintré à clé posant sur impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. et montants chaînés. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d’étages
autrefois semblables à celles du n° 140 : au premier, fenêtres rectangulaires à
l’emplacement de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à croiséeBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit. remaniées au XIXe siècle;
au-dessus, ouvertures du niveau de base du pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. conservant encore la baie
axiale cintrée à clé à volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. et sur impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie., flanquée des deux baies
rectangulaires traditionnellement plus basses. Corniche de bois.
Sources
Archives
AVB/TP 57947 (1948).
IRPA, cliché ACL, 105032A (1910).