Typologie(s)

maison ou immeuble de rapport
rez-de-chaussée commercial

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1872

Robert THERYarchitecte1923

Statut juridique

Classé depuis le 20 janvier 2005

Styles

Néoclassicisme
Néo-Louis XVI

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 30755
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Description

Initialement, deux maisons à pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc., réunies en 1872 derrière une façade reconstruite en style néoclassique, mais couvertes par les anciennes bâtièresToit à deux versants., l’une perpendiculaire (n°25), l’autre à croupeUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux. frontale (n° 27).

Façade enduite ajourée de fenêtres rectangulaires à encadrement à filet, appui saillant repris dans un cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. et garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fer, plus ouvragés au deuxième étage. EntablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. décoré de panneaux en relief entre les consoles doubles décorées qui supportent la corniche de bois denticulée. Rez-de-chaussée «classique» modifié en 1923 par l’architecte R. Théry, découpé d’ouvertures rectangulaires à coins arrondis; dans la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. gauche, porte garnie d’une grille comme l’œil-de-bœuf ovale qui la surmonte, encadré de stucs de style Louis XVI et doublé d’un larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche..

Sources

Archives
AVB/TP 752 (1872) et 27282 (1923).