Typologie(s)
maison bourgeoise
Intervenant(s)
S. MAYNÉ – 1923
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 30615
Description
Maison néoclassique de la fin du XVIIIe
siècle, jadis à corps simple. Trois niveaux et quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants..
Façade enduite et peinte sur rez-de-chaussée en pierre blanche chaulée;
ordonnance caractéristique. Rez-de-chaussée sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. à jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de cave
percé de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires inscrites et souligné par une corniche moulurée. Étages
rythmés par des trumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau. colossaux et des niches plates abritant des fenêtres
rectangulaires de hauteur dégressive; au dernier étage, baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. presque carrées
et allègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. panneautées en relief décorées de disques sur les coins supérieurs
et de gouttes dans la découpe des coins inférieurs. Cache-boulins sous la
corniche. Aménagement d’une porte de garage et déplacement de la porte sur les
plans de l’architecte S. Mayné en 1923. Démoli en 1991.
Sources
Archives
AVB/TP 28791 (1923).