Typologie(s)

hôtel particulier

Intervenant(s)

P. DROSSAERT1827

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 32731
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Description

À l’angle de la rue du Grand Hospice, maison de maître néoclassique construite en 1827 sur les plans de l’architecte P. Drossaert, comptant trois niveaux sur cave hauteSous-sol à demi enterré, surélevant le rez-de-chaussée. et deux fois quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous toiture à croupe couverte de tuiles.

Façade initialement enduite et peinte, actuellement revêtue de briques, au-dessus du soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre blanche décapée, ajouré de baies grillagées. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires et appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillants repris en cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continu aux premier et troisième niveaux. Vers la rue du Grand Hospice, bel étage marqué par un balcon axial large de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. cannelées à motif rayonnant. LarmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. profilé continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. soulignant le bel étage. Garde-corps en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. à motif de flèches entrecroisées aux étages. Vers la rue Marcq, porte rectangulaire à vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. dans la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. gauche ; étages aveuglesUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. à l’exception d’une fenêtre à droite Couronnement classique disparu, sauf un morceau d’architrave sur l’angle. Porte cochère attenante à gauche.


Sources

Archives
AVB/TP 12466 (1827).