Typologie(s)

hôtel particulier

Intervenant(s)

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 30118
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Description

Immeuble analogue à celui du n° 33, en style néoclassique, dans le dernier quart du XVIIIe siècle, propriété de la famille de Lalaing jusqu’au XXe siècle. 

Façade identique, à l’exception du profil plus simple des encadrements à crossettesRessauts décoratifs situés aux angles d’un élément tel qu’un encadrement. des fenêtres. Balcon, à l’origine, pareillement en bois et sans les consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. qui délimitent aujourd’hui les écoinçonsEspace de mur ménagé de part et d’autre d’un arc. de l’encadrement de porte, cintré, timbré d’une clé et ourlé d’une guirlandeLa guirlande est un décor figurant un cordon de fleurs, feuilles ou fruits. ; remplacé en 1926 par un balcon en béton sur les plans de l’architecte A. Delalieux, qui maintient toutefois l’ancien garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en ferronnerie ; état actuel, en pierre enduite, ordonné par la C.R.M.S. en 1929. Corniche renouvelée en 1891. Agrandissement en 1925 par l’architecte A. Delalieux. À l’intérieur, vestiges du décor d’origine à tous les niveaux ; charpente bien conservée.

Sur le côté Est de la cour intérieure, écuries datées de 1900 par une inscription : bâtiment allongé, de deux niveaux et neuf travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., sous bâtière d’ardoises. 

Façade cimentée marquée par le ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. des trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales et, au milieu, par une fenêtre meunière à aileronsÉlément décoratif ordinairement enroulé en S et terminé en volutes, qui s’inscrit dans un angle et forme un adoucissement. et frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. triangulaire. Alternance de portes, fenêtres et portes cochères ; à l’étage, fenêtres surbaissées. À gauche et à droite, murs incrustés de blasons sculptés dans la pierre bleue.

Sources

Archives
AVB/TP 34462 (1926, 1929), 10315 (1891, 1900), 31014 (1925).