Typologie(s)

portique/porte

Intervenant(s)

J.B.V. BARRÉarchitecte1775-1776

Barnabé GUIMARD1776-1780

Statut juridique

Classé depuis le 22 décembre 1951

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 36910
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Description

Quatre portiques figurant sur le projet de 1775 par l’architecte J.B.V. Barré.

Liaisons entre les pavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. dont la hauteur, l’ordonnance et la décoration sont presque identiques à ceux du rez-de-chaussée des pavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon..
Au centre, portail rectangulaire en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général., flanqué par des arcadesBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. cintrées probablement grillagées à l’origine ; balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement., traitée au centre comme un balcon avec consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. jumelées encadrant une tête de lion et désÉléments de pierre de section sensiblement carrée ou rectangulaire, disposés généralement aux angles d’un balcon. surmontés de vases. Portiques restaurés dans les années 1950-1960 par la Ville, mis à part celui de l’Hôtel Spangen.

Portique de la rue du Musée. Dessiné par l’architecte B. Guimard et construit, suite à des conventions de 1780, par le gouvernement, avec l’aide financière de la Gilde des Brasseurs. Revers travaillé : portail rectangulaire flanqué par des colonnes doriques cannelées sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. classique avec triglyphes à gouttes et métopesDans une frise d’entablement, surface nue ou ornementée qui alterne avec les triglyphes. à rosettes.

Portique de la rue de Namur. Construit en 1780 sur les plans de B. Guimard sur ordre du gouvernement, avec l’appui financier de la Ville. Au revers, passage central accosté de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. doriques lisses sous entablement.

Portique de l’impasse du Borgendael,  élevé par la Ville en 1777-1778 sous la direction de Guimard, démoli et reconstruit en 1880. Aspect des faces avant et arrière actuellement identiques.

Portique nord édifié vers 1776-1777 pour le comte de Spangen. Revers actuellement lisse et enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc..