Typologie(s)

hôtel particulier

Intervenant(s)

JACOBSarchitecte1867

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Extension Sud (Apeb - 2005-2008)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2005-2006

id

Urban : 16074
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Description

À l'angle de l'avenue Louise, hôtel particulier néoclassique de 1867 probablement sur les plans de l'architecte Jacobs, demandeur.

Il s'agit de l'un des plus anciens hôtels particuliers bien conservé du quartier. Sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue rachetant la déclivité des deux voiries, élévation enduite de deux niveaux, plus un demi, côté Louise, établi en 1903 par l'architecte Paul Saintenoy ; quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur l'avenue et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. inégales côté Mercelis, prolongées d'une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès et d'un mur de clôture surmonté d'une grille et percé d'un garage (1937). R.d.ch. à bossages. Bel étage marqué par l'entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. des hautes baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. et un balcon à balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. devançant les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales côté Louise. En façade arrière, perceptible depuis la rue Mercelis, jardin d'hiver d'inspiration Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise., établi en 1904 par l'architecte Paul Saintenoy. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre., porte, corniche à modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche. conservés.

Sources

Archives
AVB/TP 14498 (1867), 14439 (1903), 16414 (1904), 48301 (1937).