Typologie(s)

immeuble à appartements

Intervenant(s)

Léon MERCENIERarchitecte1926

Styles

Art Déco

Inventaire(s)

  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Extension Sud (Apeb - 2005-2008)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique

Recherches et rédaction

2005-2006

id

Urban : 15909
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Description

Formant l'angle avec la rue Tenbosch, immeuble à appartements de style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., conçu en 1926 par l'architecte Léon Mercenier qui en est également propriétaire.

Élévation caractérisée par l'angle en tourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. et par de puissants encorbellementsUne partie d'élévation est dite en encorbellement lorsqu'elle s’avance en surplomb. aux étages. Façade de six niveaux sous mansarde, le 2e entresolé, de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. rue Tenbosch et de cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. rue Kindermans. Elle mêle des enduits lisses et rugueux à des briques au dernier niveau. R.d.ch. en pierre bleue, rehaussé de pierre blanche et de grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice. rose, percé de portes de garage et de la porte d'accès en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. à motifs végétaux, à la 2e travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. rue Kindermans. Cette travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. développe sur toute sa hauteur un oriel largement vitré à petits-bois, éclairant la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier.. Étages caractérisés par de larges encorbellementsUne partie d'élévation est dite en encorbellement lorsqu'elle s’avance en surplomb. sur d'imposantes consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console., de forme trapézoïdale rue Tenbosch et de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. rue Kindermans, la dernière traitée en une suite de balcons, celui du dernier niveau sous pergola. Sur la tourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. d'angle, un niveau d'attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. est ajouté en 1940 à la place d'une terrasse, par le même architecte. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. partiellement remplacés.

À l'intérieur, un appartement par étage.

Sources

Archives
AVB/TP 34501 (1926), 55537 (1940).


Périodiques
« Comment bâtir… ?  », Bâtir, 9, 1933, pp. 352-353.
L'Émulation, 4, 1936, pp. 66-72.