Typologie(s)

hôtel particulier

Intervenant(s)

Victor HORTAarchitecte1896

M. GENARDarchitecte1910

Jean DELHAYEarchitecte1959-1963

R. GENARDarchitecte1910

Statut juridique

Classé depuis le 21 juin 1971

Styles

Art nouveau

Inventaire(s)

  • Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Extension Est (Apeb - 2006-2009)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2006-2008

id

Urban : 18423
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Description

Hôtel particulier de style Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise., conçu en 1896 par l'architecte Victor Horta comme pied-à-terre bruxellois pour Georges Deprez, directeur des cristalleries du Val Saint-Lambert, et sa femme, Madame Van de Velde.

Avenue Palmerston 3 et rue Boduognat 14, avant transformation (REHME, W., 1902, pl. 60).

À l'origine, l'immeuble, de quatre niveaux, présentait trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à front de la rue Boduognat et trois autres, devancées d'un jardinet, vers l'avenue Palmerston, reliées par une travée biaiseTravée d’angle, située de biais, généralement à quarante-cinq degrés, par rapport au reste de l’élévation.. Côté Boduognat, la première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. était percée de l'entrée principale et la deuxième d'une petite porte de service surmontée, à chaque étage, d'étroites fenêtres en décalage, éclairant la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier.. Côté Palmerston, la troisième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. comprenait une entrée au rez-de-chaussée et une loggiaPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. marquée par deux colonnettes au deuxième étage, surmontée d'une terrasse devançant un brisis incurvé.

Avenue Palmerston 3 et rue Boduognat 14, détail des deux premières <a href='/fr/glossary/249' class='info'>travées<span>1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.</span></a> originelles rue Boduognat (REHME, W., 1902, pl. 3).

En 1910, le nouveau propriétaire, Henri Renkin, fait agrandir et modifier l'hôtel. Les architectes M. et R. Genard transforment la dernière travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers l'avenue et démolissent la maison de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. inégales portant alors le no 3 (1898), afin de créer, dans le même style, un nouveau pan de façade symétrique de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et trois niveaux, avec entrée axiale. Côté Boduognat, la deuxième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. est entièrement modifiée et un nouveau volume de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à rue est construit à l'emplacement de la cour arrière, déjà transformée en garage en 1905. Les fenêtres occupant l'angle sont murées et les profils entourant les fenêtres supprimés.

Avenue Palmerston 3 et rue Boduognat 14, l’hôtel en cours d’agrandissement (a href='http://www.kikirpa.be'© IRPA-KIK Bruxelles/a).

En 1959, l'architecte Jean Delhaye, propriétaire, projette de transformer la façade et l'intérieur de l'hôtel. Ce projet ne verra pas le jour1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants.. En 1963, l'architecte introduit une nouvelle demande de transformation du bâtiment, destiné à abriter des bureaux. Suite au refus du Collège de la Ville, Delhaye adresse un recours auprès de la Députation Permanente. La Province lui délivre le permis de bâtir et l'intérieur de l'immeuble est entièrement réaménagé. La façade conçue en 1910 vers l'avenue est, en outre, surhaussée d'un quatrième niveau, sur le modèle de celui du bâtiment de 1896, et des lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. sont aménagées en toiture.

Avenue Palmerston 3 et rue Boduognat 14, avant la surhausse de 1963 (a href='http://www.kikirpa.be'© IRPA-KIK Bruxelles/a).

Élévation de quatre niveaux, en pierre blanche, rehaussée de pierre bleue formant bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. dans le bas de l'élévation et marquant les angles. Elle est ponctuée de décors de pierre finement ouvragés. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. pour la plupart rectangulaires au rez-de-chaussée, sous arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. surbaisséUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle. à extradosFace supérieure d’un arc (celle noyée dans la maçonnerie). On désigne les formes de l’extrados avec les mêmes termes que celles des arcs (ex: arc en plein cintre à extrados brisé). L’extrados en escalier est étagé à la manière d’un escalier. légèrement brisé et comprises dans un mince encadrement aux étages ; appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. profilés. De minces colonnettes marquent les angles et bordent certaines travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Prises d'air en forme d'ouïes à souple encadrement aux étages.

Avenue Palmerston 3, angle du bâtiment  (photo 2008).

Sur l'angle, travée biaiseTravée d’angle, située de biais, généralement à quarante-cinq degrés, par rapport au reste de l’élévation. flanquée de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. analogues. Toutes trois sont percées d'une étroite fenêtre au rez-de-chaussée ainsi que d'une large fenêtre à double meneauÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. en pilastreÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. au troisième étage. Les fenêtres des étages sont aveuglesUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. sur l'angle et vers la rue Boduognat.

Avenue Palmerston 3, détail de la <a href='/fr/glossary/249' class='info'>travée<span>1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.</span></a> d’angle (Photo Ch. Bastin & J. Evrard © MRBC).

Vers l'avenue Palmerston, deuxième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. percée au rez-de-chaussée d'une fenêtre à grillage intégrant deux colonnettes soutenant son arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné.. Elle est flanquée par les courbes végétales de deux consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. supportant un oriel de plan trapézoïdal. Celui-ci forme, au troisième étage, une terrasse à parapetUn parapet en maçonnerie est un muret servant de garde-corps. devançant un tripletGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. à piédroitsLes piédroits sont les éléments verticaux latéraux de l’encadrement d’une baie, portant son couvrement. en pilastreÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau.. Au deuxième étage, partie inférieure de la fenêtre axiale dotée de trois meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie.. La façade de 1910, en léger ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général., compte trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., l'axiale plus large. Au rez-de-chaussée, baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. de pierre continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. : deux étroites fenêtres prennent place de chaque côté d'une porte d'entrée en tripletGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste.. Cette dernière est transformée, depuis 1963, en baie libreBaie qui n’est pas close par une menuiserie. ouvrant sur un porche dans-œuvre. Surmontant l'entrée, balcon à angles incurvés sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. géométrisées, à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion. aux lignes Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise.. Il devance un tripletGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste.. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale percée de deux fenêtres jumelles à piédroitLes piédroits sont les éléments verticaux latéraux de l’encadrement d’une baie, portant son couvrement. commun au deuxième étage. Corniche sur quatre consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. profilées. Étage-attiqueUn étage-attique est un étage situé au-dessus de l’entablement ou le dernier étage en retrait d’un immeuble. de 1963 percé, sur le modèle des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. voisines, de fenêtres à simple ou double meneauÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. en pilastreÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau..

Avenue Palmerston 3, détail de la façade (Photo Ch. Bastin & J. Evrard © MRBC).

Vers la rue Boduognat, les deux premières travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., ajoutées en 1910, sont percées d'étroites fenêtres en décalage. La troisième est occupée par l'entrée principale originelle : un tripletGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. – porte sous arc dépriméArc dont le tracé est une droite raccordée à ses extrémités par deux quarts de cercle. L’arc déprimé est relativement haut : le rayon de ses quarts de cercle doit faire au moins un cinquième de la portée de l’arc. légèrement chantournéUn élément est dit chantourné lorsque sa forme alterne courbe et contre-courbe. et fenêtres à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. rampantAdjectif indiquant qu’un élément d’élévation n’est ni horizontal ni vertical. Par extension, nom donné aux éléments situés de biais d’un pignon ou d’un fronton. – compris dans un remarquable encadrement ouvragé de saillie croissante dessinant un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. brisé. Cet encadrement soutient un oriel à pans latéraux concaves, montant sur toute la hauteur de l'élévation. La quatrième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. présente depuis 1910 deux fenêtres jumelles à chaque niveau, à l'exception du dernier, ouvert par une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à meneauÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. flanquée de deux fenêtres de moindre hauteur.

Rue Boduognat 14, vue de l’entrée (Photo Ch. Bastin & J. Evrard © MRBC).

Vers l'angle du bâtiment, soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. incurvé et rehaussé de motifs souples. Souches de cheminée en pierre ouvragée, reliées par un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné.. Les remarquables grilles en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du rez-de-chaussée sont conservées, tout comme celles du jardinet, qui intègrent des colonnettes à amortissementAmortissement. Élément décoratif placé au sommet d’une élévation.Amorti. Sommé d'un amortissement. en coup de fouet. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à petits-bois anciens.

Rue Boduognat 14 (© V. Brunetta & M. Eberlin, 2009).

Vers la rue Boduognat, façade arrière, de 1910, sobre, en briques et pierre bleue. Entrée de garage formée par deux piliersSupport vertical de plan carré. sous amortissementAmortissement. Élément décoratif placé au sommet d’une élévation.Amorti. Sommé d'un amortissement. pyramidal, établie en 1910 à l'emplacement du mur de clôture du jardin de la maison démolie de 1898.

Avenue Palmerston 3 et rue Boduognat 14, l’hôtel en cours d’agrandissement, depuis la rue Boduognat (a href='http://www.kikirpa.be'© IRPA-KIK Bruxelles/a).

Classement 21.06.1971.

Sources

Archives
AVB/TP 2965 (1896), 2974 (1898), 6202 (1910), 18571 (1905), 67579 (1959), 75153 (1963).

Ouvrages
AUBRY, F., Victor Horta à Bruxelles, Racine, Bruxelles, 1996, pp. 42-45.
AUBRY, F., Horta ou la passion de l'architecture, Ludion, Gand, 2005, pp. 98-99.
BORSI, F. et PORTOGHESI, P., Victor Horta, éd. J.-M. Collet, Braine-l'Alleud, 1996, pp. 78, 216-219.
Bruxelles, Monuments et Sites classés, Région de Bruxelles-Capitale, Service des Monuments et Sites, Bruxelles, 1994, p. 110.
HORTA, V., Mémoires. Texte établi, annoté et introduit par Cécile Dulière, Ministère de la Communauté française de Belgique, Bruxelles, 1985, pp. 74-76.
LOZE, P. et F., Belgique Art Nouveau. De Victor Horta à Antoine Pompe, Eiffel Éditions, Bruxelles, 1991, pp. 85-87.
MEERS, L., Promenades Art Nouveau à Bruxelles, Racine, Bruxelles, 1996, pp. 127-128.
REHME, W., Die Architektur der neuen freien Schule, Baumgärtner's, Leipzig, 1902, pl. 3 et 60.
VANDENBREEDEN, J., VAN SANTVOORT, L., DE THAILLE, P., et al., Encyclopédie de l'Art nouveau. Tome premier. Le quartier Nord-Est à Bruxelles, CIDEP, Bruxelles, 1999, pp. 106-108.